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Petite histoire qui aurait put etre mon perso.
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Valeran
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Petite histoire qui aurait put etre mon perso.
Ven 1 Sep - 21:20
Hello les amis.

Je me suis mis a écrire ce qui ne devait être l'histoire façon reportage d'un Lucario mais cela s'est mué d'une très courte histoire de deux a trois pages en une petite nouvelle. Un temps, j'ai envisager d'en faire mon personnage m'enfin bref, je vais la poster en plusieurs parties car je ne l'ai pas fini encore. Hmmm hmmm

J'étais un Riolu ordinaire, j'ai vécu quelques années avec mes parents avant que l'aventure m'appelle. A cette époque, je me souviens, je voulais déjà devenir plus fort, devenir LE plus fort. Je me doutais déjà bien du très long chemin que j'avais a parcourir. En revanche, j'étais à mille lieux de me douter combien cela allait être difficile. Pour commencer, il me fallait trouver un grand maître du combat, pour m'apprendre a bien me battre, a discipliné mon corps et mon esprit. Car comme chacun sais, l'un ne va pas sans l'autre. Mais me direz vous, pourquoi je ne demande pas tout bonnement à mes parents, ce sont des Lucario après tout ? Très simple, mon père à un naturel trop gentil, il n'aurais su me considérer comme un adversaire et non comme un fils. Quand a ma mère, bien qu'elle sache se battre, elle préfère souvent observer la nature, poursuivre les papillons, bref ce genre de chose. C'est alors que j'aperçus une ville humaine au loin. Père m'avait souvent dit de me méfier des hommes car certains étaient très mauvais, très méchant et même gentil, il était farouchement opposer à vivre avec un humain. Mais n'ayant toujours pas trouver un professeur, je me devais d'aller quand même y jeter un œil, par simple curiosité.
A l'abri derrière des arbres, j'observais les premiers bâtiments, les premiers humains aussi que je voyais. C'était un jour de marché, il y avait de grands stands et les gens regardaient une quantité d'objets et surtout de nourritures tellement importante que aujourd'hui encore, j'en suis étonné . Par l'odeur allécher, j'en vînt a aller voir au plus près, essayant de ne pas me faire remarquer. Marchant a côté d'humains pour faire croire que je n'étais pas un Pokémon sauvage. Et la, je vis un petit spectacle avec des Otaria jonglant avec des ballons, sous la direction d'un humain au crâne chauve. Ils avaient l'air de bien s'amuser et d'être heureux avec cet humain. Mais ne pouvant rester, toujours pour ne pas me faire remarquer, je me vis bientôt offrir une glace fraise vanille, comme ça gratuitement. J'étais un peu gêner mais visiblement, la glacière insistait alors je l'ai timidement remercié avant de me demander...
Est-ce que c'est bon une glace ? Bah quoi ,vous pouvez rire mais les glaces, dans la nature, cela n'existe pas. Bref, j'ose goûter et la,un grand sourire illumine mon visage. Certes c'est froid mais qu'est ce que c'est bon. Du coup, tout content, j'avance joyeusement en mangeant ma glace quand, a peine à la moitié, j'entends des cris. " Au voleur! Au voleur, il m'a volé mon sac! " . Un simple regard autour de moi et je remarquait un homme courant vers moi,un sac a main sous le coude, renversant étals et personnes sur son chemin. Confiant ma glace à un Pachirisu un peu figé, je décide de l'intercepter et de récupérer le sac. Je me mis en travers du chemin, écartant les bras comme pour lui dire " ta course s'arrête ici.
" Dégage !" Me hurle t'il tout en voulant me donner un grand coup de pied. Vous imaginez bien, j'ai esquivé son coup et juste après, ce fut à mon tour de frapper, un bon coup à la pliure des genoux. Ça marche toujours et cela occasionne toujours le même résultat, faire tomber son adversaire ou du moins, le mettre à genoux. Lui il tombe à terre et en lâche le sac. Immédiatement, j'en profite pour l'assommer d'un bon coup à sa tête. Pour la discrétion, c'était raté. Ramassant le sac,je me rends compte qu'une foule s'est attroupés autour de moi. Cela me rend nerveux, peut-être y'en à dans le tas qui veulent me capturer? Sauver par le gong, ou plutôt le deux ton de la police, j'en profite pour sortir du cercle et rendre le sac a sa propriétaire, une vieille dame. La foule ramène le corps inanimé du voleur sans délicatesse et après avoir sélectionné quelques témoins, tout ce petit monde fût ramener au poste de police. Et moi aussi. Après tout, j'étais l'un des acteurs majeurs. Dans la voiture, je réalise une chose. J'avais oublié ma glace.
Après deux heures où j'ai raconter ce que j'avais fait précisément, c'est à dire ce que tout le monde aurait fait à ma place, on me relâche avec un petit sac plein de fruits en récompenses. J'étais à peine sortie qu'une poignée de journaliste vinrent me demander de raconter mon histoire, ce que j'ai ressenti, si je me sentais fier de moi et ce que j'allais faire maintenant ? Passer de l'anonymat à la célébrité, ce n'était pas évident pour moi, encore aujourd'hui, je suis difficilement à l'aise dans cet exercice. J'ai fini par répondre, bafouillant beaucoup mais je pris de l'assurance sur la fin et conclût que maintenant, je comptait trouver un joli petit coin pour manger mes fruits.
Et le petit jardin qui fait l'angle avec le centre Pokémon fera l'affaire. Une jolie petite aire boisé avec des bancs,des petits d'humains jouant ensemble et parfois avec les pokémons de leur parents. Je les observait, assis contre mon arbre à manger mes fruits, ils avaient l'air heureux ces Pokémons, surtout ce Ponchien , inépuisable, il courait partout en aboyant tout le temps. Les enfants jouaient avec une balle et j'ai appris plus tard que ce jeu s'appelait le football. Intéressant exercice de coordination à mes yeux. Comme si le destin avait entendu mes pensées, le ballon vînt accidentellement tout près de moi. Le Ponchien vînt vers moi mais en me remarquant, s'arrête à bonne distance et me demande de renvoyer la balle. Remettant mon fruit dans le sac, je voulus jouer aussi. Je passa alors toute la fin d'après-midi à jouer avec les enfants, j'aimais bien le football. Mais maintenant qu'il faisait nuit, je devais trouver un endroit où dormir. Un rapide examen des arbres m'apprit qu'aucun ne ferait l'affaire. Le centre Pokémon fût donc une évidence aussi je m'y rendis, y entrant timidement. Une Leuphorie s'enquit de suite de moi aussi lui expliquais je simplement mon cas et que je voulais dormir. Apres une rapide consultation des places libres, elle m'annonce qu'il ne reste qu'une place, normalement attribuée a des pokemon de plus grande taille mais comme personne n'est venu pour la prendre, que je pouvais la prendre. Elle m'y emmena en silence, beaucoup dormaient déjà et ceux qui ne dormaient pas avaient besoin de repos. Ma chambre comportait trois grand lits où dormait déjà une Feunard et un Nidoking. Effectivement, c'était pour de plus grande taille que moi aussi fis je mon possible pour faire encore moins de bruit, connaissant le mauvais caractère que peuvent avoir les Nidoking parfois. Je me glisse alors sous les couettes chaudes et pour la première fois, goutte au confort que peut donner de vivre avec des humains. J'étais au sec, j'étais au chaud, le ventre plein, le sentiment du devoir accompli et en plus, je n'avais pas a craindre pour ma sécurité.
Aucune surprise donc a ce que je dorme comme un bébé jusque tard dans la matinée. C'est mon ventre en fait qui me réveilla. Fort heureusement, il me restait mon sac de fruit, j’étais loin d'avoir tout manger et connaissant mon faible appétit, un rapide coup d’œil suffit pour me dire qu'il me restait 3 à 4 jours de nourriture, en ne me goinfrant pas. Mais avant, avant toute chose, il me fallait retourner auprès de mes parents pour les rassurer et leurs raconter mon aventure. Je quitte donc le centre Pokemon en remerciant tout le monde et d'un bon pas, j'arpente les rues de la ville en faisant bien attention. Le danger pouvait venir de partout, une seconde d'inattention, on traverse sans regarder... Mais pas d’inquiétude, je rejoignit la foret où je retrouve tout mes repères et en trottinant joyeusement, je ne mis que quelques heures pour rejoindre les montagnes qui m'ont vues naître. Je pris le temps de me baigner. De l'eau fraîche, de l'eau pure, bonne a boire. La montagne pouvait être un environnement dure mais elle offre tellement de bienfait...je comprends que ma mère puisse passer du temps a observer la nature. Certes, ce n’était pas mon truc m'enfin.
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Re: Petite histoire qui aurait put etre mon perso.
Ven 8 Sep - 21:43
Re les amis et voici un bout de la suite, je continue d'ecrire le reste au travail donc bon, c'est plutot lent a produire

Une demi heure plus tard, je les surpris a s’entraîner ensemble. Ils faisaient rarement semblant et ma mère changeait du tout au tout. Une mère rêveuse et contemplatrice, la voila âpre et sans merci. Mais quand ils s’aperçurent de ma présence, ils cessèrent aussitôt et se jetèrent sur moi pour m’étreindre tendrement. Je les avais inquiéter a ne pas revenir. Ils semblaient tellement heureux qu'ils ne m'ont pas gronder et une fois confortablement installer, je leur fit un récit de mes aventures. Mes parents m’écoutèrent d'un bout a l'autre sans m'interrompre. A la fin, après plusieurs secondes de silence, mon père me frotta la tête de sa main et dit simplement qu'il était fier de moi et que j'avais bien agi compte tenu de la situation. Quand je leur annonça alors que je comptais repartir, mère me demanda pourquoi. En lui répondant que je voulais apprendre a me battre, elle me fit remarquer qu'ils pouvaient m'apprendre, pourquoi aller ailleurs. La réponse que je voulais leur donner me fit rougir de honte et mon père le remarque instantanément.
On ne lui a jamais interdit d'aller apprendre les choses par lui même tu sais amour. Si il juge qu'il pourra mieux apprendre a se battre ailleurs qu'avec nous, nous n'avons pas a le retenir. Cependant fiston, j'aimerai quand même que tu restes, nous pouvons au moins t'apprendre les bases et tout ce que nous savons.
Je pouvais au moins lui accorder cela. Ils m'avaient appris a être respectueux, a trouver a manger, a boire, a me soigner, a me faire un abri bref, a être quelqu'un de bien. Acceptant, je ne me doutais pas un seul instant combien cela allait être dur. Il me réveille le lendemain matin, très tôt, pour aller courir. Les humains appellent cela faire un jogging sauf que eux n'avaient pas a gérer le dénivelle ni la roche. Toute les vingt minutes environ, on s’arrêtait mais pas pour faire une pause non non. Tantôt il me faisait soulever des rochers, tantôt il m'apprenait les techniques de combats, me les faisant répéter encore et encore jusqu’à ce qu'il soit satisfait, d'abord lentement puis de plus en plus vite. Comme il disait, le plus important est de maîtriser le geste. Quand on a la maîtrise de son geste, on peut alors songer a la vitesse de celui ci. La vitesse étant le liant entre la maîtrise et la puissance, sans maîtrise, taper comme un sourd n'importe comment vous mets en danger. En plus, sans vitesse, la maîtrise ne sert a rien car l'ennemi vous esquive. De ce fait la puissance ne sert a rien si vous n’êtes pas assez rapide pour toucher. Après seulement une matinée, j'étais complètement lessivé. Étrangement, mon père n'avait pas été aussi doux a l’entraînement que je l'avais penser. Il s'exprimait par des phrases courtes, souvent des ordres et se formalisait nullement de mes chutes, ne m'attendant pas vraiment. De retour chez nous, il avait retrouver sa douceur et m'explique que dans un combat, ton adversaire ne montrera aucune bienveillance, de ce fait, il ne voyait pas pourquoi durant l’entraînement, il en ferait preuve.
Trois mois passèrent, je m'étais drôlement améliorer. Ce qui habituellement m’essoufflait ne le faisait plus, je savais désormais parfaitement courir même sur un terrain aussi glissant que des éboulis ou des pentes de gravier. Les roustes que je prenaient durant les combats avec mon père les premier jours étaient déjà plus équilibrer, je n'était plus vraiment le seul a compter mes bobos et cela faisait rire ma mère. Je me découvrit une aisance innée a frapper avec mes jambes, cela était devenu mon domaine de prédilection. Ma mère me prévint que c'était bien mais qu'il fallait aussi que j'apprenne a utiliser mes poings. Je n'oubliait pas mes poings, ça non mais disons que je me sentais plus a l'aise de frapper avec mes jambes et mes pieds. Mon entraînement fit une pause, mon père m'accordant quelques jours de repos. Je savais déjà ce que j'allais faire et mon père le dit avant même que je puisse dire où j'allais. Il m'avertit seulement de rester sur mes gardes et de faire attention a moi. Si je ne le faisait pas, il me promis de me botter les fesses tellement fort que j'atteindrais la lune plus vite qu'un Roucarnage a pleine vitesse...le pire, c'est qu'il en était bien capable.
De retour en ville, de retour dans l'agitation. Malgré trois mois d’absence, tout le monde semblait se souvenir de moi, particulièrement la vieille dame a qui j'avais rendu son sac. Je l'ai croiser au détour d'un croisement, elle rentrait de ses courses et je me proposa de l'aider a les rentrer. Une heure plus tard, ce fut fait et récompenser d'un Soda Cool, je poursuivit mon exploration. Par delà un mur, j'entendis des cris et comme du combat. Intéresser, j'escalade le mur et m'assis a son sommet. C'était un club d'art martiaux, ils avaient mis le tatami dehors et s’entraînaient a l'art martial de leur choix. Il y'avait surtout des humains mais aussi quelques Pokemon comme des Karaclé ou Kicklee. Vous imaginez combien je fut intéresser, j'avais tellement envie de me joindre a eux. Cependant, je n'avais pas d'argent pour payer les heures, je dut donc me contenter de les regarder, un peu déçu. J’étais la depuis une demi heure, sirotant mon Soda Cool quand le professeur décide de faire passer ses élèves de l’entraînement a des combats amicaux. Et il fut embêter, il n'avait personne du gabarit du seul enfant humain. Adolescent a vrai dire, il avait...16 ans je crois. Bref, c'est la que l’entraîneur me remarquait et me demande de venir. Un peu nerveux, je descend de mon mur, m'approchant de tout ces humains. L’entraîneur me demande alors si cela me dérange de faire un combat avec son jeune élève. Comme je l'ai dit, je n'avais pas d'argent et je lui fit remarquer mais il partit dans un grand rire et me répondit que lui rendre service était amplement suffisant en échange de mon temps. Il me demande cependant de ne pas utiliser de technique comme Double Pied ou Mach Punch, mon adversaire étant encore jeune et vue qu'il n'était pas un Pokemon, pour une question d’équilibrer les choses. Vous imaginez bien combien j’étais content et je m'empresse alors d'accepter. J'appris alors rapidement les règles du kick boxing puisque le jeune humain pratiquait ce sport et on me donne même dix minutes pour m’échauffer. L’échauffement, c'est toujours important, ne l'oubliez jamais avant toute pratique physique intense. Donc, trois round de trois minutes avec une minute de pause entre chaque round. Je monte donc sur le ring en face de l'adolescent qui n'en menait pas large. Je n'était pas totalement serein non plus, l'idée de me battre contre un humain me fut d'un coup assez saugrenue. Après les recommandations de l'arbitre, du touchage des poings, je pris deux secondes pour respirer profondément. Faire le calme en soi, ressentir, ne pas penser, faire confiance a mon instinct. Et voir ce que je vois. Cela restait une énigme pour moi. Le combat commence. Il prit de suite l'initiative, sans doute pour tenter de me prendre à froid. Tandis que je me défendait, je le sentais nerveux, tendu et il me fallut un round à ne pas faire grand chose pour comprendre. Il me redoutait. Pour lui aussi, affronter un Pokemon, cela devait être une première. Ce round me permit aussi de regarder sa technique, de comprendre comment il aimait attaquer, ses points forts mais plus important, ses points faibles. Un manque de vitesse qu'il tentait de compenser avec de la puissance mais il perdait en maîtrise. Le second round allait être intéressant. Des le début, je lui fit comprendre que cela n'allait pas être la même. Je ne voulais même pas agir en contre, je partis à l'attaque, dans de long enchaînement poing-pied/pied-poing qui le mis en difficulté dans les cordes. Profitant d'une attaque hasardeuse de sa part, je pare un coup de pied retourné et attendit qu'il me fasse face pour lui donner un grand coup de poing dans le ventre qui le plia et enchaîner de suite par un coup de pied au menton qui l’électrisa et le laissa K.O sur le ring pendant deux minutes. Il y'eu des applaudissements mais des que mon adversaire fut debout, je m'empresse de lui lever le bras et de le montrer de la patte. Geste typique des sports de combats mais tout à fait normal, pour un bon combat, il faut être deux à monter sur le ring.
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Re: Petite histoire qui aurait put etre mon perso.
Lun 13 Nov - 16:18
La suite la suite la suite ! YEEEAAAHHHHHH!!!!!

Après ce bon combat, on me demande de rester, que c'était cool d'avoir quelqu'un comme moi pour s’entraîner. Ma foi, je ne dis pas non, gratter quelques heures avec des professeurs sans débourser un Poke dollar, cela ne se refuse pas.  Cependant, je n'oubliais pas que j'étais en repos. S’entraîner c'est bien mais il faut aussi penser à laisser son corps se reposer. Deux heures plus tard donc, j'étais dehors a chercher de quoi manger. Pas question de voler ou de mendier ma nourriture, je savais la trouver moi même dans la nature et c'est ce que je fis en disparaissant dans les bois en quêtes de baies. Avec mon expérience, je ne mis qu'une petite demi heure a trouver assez de baies pour me faire exploser la panse. Ce n'était pas les baies que j'avais l'habitude de manger mais bon, comme on dit, si on voyage mais qu'on mange comme si on était chez soit, quel intérêt de voyager ?
J'en étais a considérer une drôle de baies toute en longueur quand des cris attirèrent mon attention. L'instant d’après, une Evoli qui devait avoir connu des jours meilleures déboule d'un buisson et visiblement, elle semblait apeurée, elle fuyait quelqu'un. Ce quelqu'un était un jeune humain, caractériel au possible. Il la traitait de tout les noms en lui ordonnant de revenir au pied, qu'elle allait passer un sale quart d'heure si elle n’obéissait pas. Une voix, celle de ma mémoire, me remit en tête ce sur quoi m'avait prévenu mon père vis a vis des humains. Il n'en fallut pas plus pour me pousser a agir. Des que je fut debout, l'humain me remarque et ordonne a l'Evoli de m'attaquer. Mais cette dernière tremblait comme une feuille derrière mes baies et ne bougeait pas d'un pouce. Excédé, il me jette rageusement a la figure une Pokeball dans le but manifeste de m'attraper. Retour a l’expéditeur d'un grand coup de pied dans la sphère, il se la prit dans le front. Ce qui visiblement l’énerve encore plus. Pour preuve, il ramasse une grosse branche et essaye de me frapper avec. Tout en faisant cela, il essayait de s'approcher de l'Evoli pour la récupérer. Pas question de le laisser faire. Pas question de fuir avec l'Evoli. Aussi, après avoir esquiver trois fois la vilaine branche, je parvins a m'approcher assez pour utiliser Forte Paume et expédier cet immondice plusieurs mètres plus loin. Sonné comme il était, je m'approchait de lui, prêt a en découdre encore si il demeurait belliqueux. Mais lâche comme il était, il préfère s'enfuir, lâchant un simple, ''je te laisse l'Evoli, prend la mais laisse moi tranquille !''. C'est ainsi que je fis ma première expérience d'un humain abandonnant son Pokemon. Même si pour cette fois, c'était mieux ainsi. Après m’être assurer qu'il était bien parti, je retourne voir l'Evoli et accessoirement mes baies. Elle tremblait toujours mais elle était sorti de sa cachette et me regardait comme pour me dire '' Qu'ai je fait pour mériter cela ? ''. Je lui souris et l'invite a manger avec moi, de ne pas avoir peur car je n'étais a personne. Timide au possible, elle osait a peine me regarder mais mangeait d'une manière qui me laissait a penser qu'avec son humain, elle ne devait pas toujours manger a sa faim. Quel immondice cet humain. Si je ne m'était pas retenu, j'aurai été le rattraper pour lui coller une nouvelle correction. Mais cette Evoli était plus importante et, tout en se partageant les fruits de ma cueillette, on se mit a discuter de choses et d'autres, de la où l'on venait, de nos baies préférées et de notre expérience de la vie en générale. Je crois que lui raconter ma vie a l'état sauvage lui fit beaucoup de bien, elle s'imaginait sans doute aussi libre que moi. En retour, je l'interrogeait si, mis a part '' l'autre '' les humains étaient t'ils majoritairement bon ou mauvais. Prenant le temps de réfléchir a la question, elle finit par me répondre que cela dépendait des humains, que la plupart du temps, il était au minimum indiffèrent, au mieux ils faisaient attention a prendre soin de nous et qu'il y avait aussi malheureusement des humains comme son ex dresseur, qui ne comprennent rien et qui brutalisent leurs Pokemon au moindre échec, des qu'ils sont fatiguer voir pire encore. Cela me fit froid dans le dos mais il y'avait de l'espoir d’après ses propos.
C'est alors que j’eus une idée. Je lui demande si cela l’intéressait d’être a nouveau auprès d'un humain, lui précisant que c'était quelqu'un de très gentil et agréable, que je l'avais déjà rencontrer et que je n'avais jamais eu de problème. En une seconde, je perçus dans son regard un non suivie d'une certaine curiosité. Le non, je comprenais, elle venait tout juste de sortir d'une expérience désastreuse avec un humain, se lié avec un autre était certes sans doute trop tôt mais en même temps, elle semblait tellement vouloir tourner la page et être heureuse. Pour lui laisser le temps de réfléchir, je lui promis de la lui présenter après être passer par le centre Pokemon pour y être soignée. On ne sais jamais avec les mauvais traitement reçues. Elle sourit et remuant la queue, elle m'assure vouloir au moins voir cette humain que je décrivais si gentil. Cela me mis du baume au cœur, je lui ébouriffe la tête joyeusement et juste après, je me mis a la chatouiller. Bon certains endroits étaient douloureux des coups reçus. La pauvre, elle avait dut vivre un vrai calvaire avec cette humain. Comment pouvais t'on être violent envers une si mignonne Evoli ? Quel honte cet humain.
Une heure plus tard, temps consacrer a finir notre repas, nous retournâmes en ville, nous dirigeant au centre Pokemon pour que l'Evoli y soit soignée. Une Leveinard m'appris qu'elle sera complètement rétablie dans quelques heures et qu'elle dormait pour le moment. En attendant, la sachant en sécurité, je poursuivit l'exploration de la ville et finit par trouver un grand terrain d'herbe soigneusement tondue. Un terrain de football comme disent les humains. Il y'avait des tribunes de chaque cotés, on pouvait en recevoir des humains ici. Et le bâtiment au fond, je me suis tout de suite dit, c'est le centre du club. Très intéresser, je me suis diriger tout droit vers l'entrée, observant l’intérieur d'un hall où deux standardistes s'affairaient derrière un bureau moderne. Mis a part deux portes a droite et a gauche du bureau, les murs étaient couverts de meubles et d'étagères où s’amoncelaient coupes, médailles et photos d’équipes. Cela semblaient être un club très performant, très fort, normal que beaucoup d'enfants jouent dans les parcs et jardins. Timidement, je me faufile a l’intérieur, sous le regard amusée d'une des hôtesses.
Oh toi tu es nouveau ici. Bienvenu dans la salle des trophées du club, notre vitrine pour tout ceux qui aurait besoin d'une motivation supplémentaire pour s’entraîner dur et rejoindre notre club.
Tu m’étonnes, n'importe qui, avec un bagou et une telle motivation a raconter l'histoire du club de football, ses succès, ses moments difficiles, aurait envie de se lancer dans l'aventure. L’hôtesse semblait tout savoir, pouvait me dire qui avait marqué, a quel minutes, le nombre de cartons, le temps qu'il faisait, aucun détail n'était oublié. J'étais très impressionné, fort excité aussi quand elle me propose de voir la finale d'il y'a trois ans, la plus belle finale et le match le plus intense que le club ai connu depuis sa création. Rien par contre ne m'avait préparer a ce que j'allais voir. J'étais que trop heureux, confortablement installer dans un bon fauteuil devant un bel écran de télévision. Je ne l'ai pas préciser bien sur mais il s'agissait d'un match de football Pokemon opposant donc ce club, les Dancing Feet au club du Rythm'n Ball. Deux équipes entièrement composer de Pokemon. Comme les commentateurs le rappelaient, les règles étaient les même que pour les humains a quelques détails près. Interdiction par exemple de manipuler le ballon par des pouvoirs psy, télékinésique ou autres pouvoirs du mental ou de l'esprit. Interdiction d'attraper le ballon avec les dents, interdiction évidement d'agresser un adversaire autrement que par les tacles et contact tant que ceux ci sont réglementaires. En revanche, les attaques Pokemon sont autorisé pour propulser, intercepter ou contrer le ballon. Ballon qui est bien sur renforcés pour résister à ces chocs et ces attaques, un ballon ordinaire ne durerait même pas cinq minutes.
Les deux équipes entraient sur le terrain sous les hourra d'une foule en délire, il n'y avait pas deux Pokemon pareil au sein d'une équipe ou l'autre, par contre, les deux équipes possédaient un point commun.  Je me souviens encore de ma réaction stupéfaite, les deux capitaines étaient des Lucario...mes parents. Je n'en revenait pas, mes parents, joueurs de football, capitaines de leurs équipes, jouant devant des dizaines de milliers d'humains. Je me souviens m’être frotter les yeux pour vérifier que je n'avais pas mal vue, cela me paraissait impensable, inconcevable. Etait ce donc ainsi qu'ils s'étaient connus ? Le plus  bizarre, c'est qu'encore mon père, je l'imagine assez facilement meneur d'une équipe, autant ma mère, avec son tempérament rêveuse...ce match allait être riche d'enseignement.
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Re: Petite histoire qui aurait put etre mon perso.
Ven 30 Mar - 7:15
Eh oui, je n'ai pas oublier la suite de cette histoire mais ayant eu une irl chargée bref...

Le match débute par un engagement des Dancing Feet, l’équipe de mon père. Et tandis que les deux équipes bougeaient tous ensemble, mes parents n'avaient pas bougés, observant le déroulement du jeu. Dix minutes de jeux plus tard, mon père se décide enfin a bouger et semble annoncer le plan de jeu en trois ou quatre mots. Récupérant le ballon d'un Tacle Lourd, il prit quelques mètres d'avance, s’arrête, frappe des mains quatre fois au dessus de sa tête et se met a danser la samba. Qu'est ce qui lui prenait de danser dans un moment aussi important, il dansait littéralement, avançant balle au pied tout en dansant la samba. Le pire, c'est que cela se révélait d'une redoutable efficacité, il élimina deux adversaires avant de faire une passe du talon a un de ses coéquipiers, qui a son tour se mit a danser autre chose. Cette curieuse tactique semblaient déboussolé l’équipe des Rythm'n Ball jusqu’à ce que ma mère intervienne et intercepte une passe. A son tour, mère se mit a faire quelque chose de très bizarre,juste après avoir fait une passe a son ailier Galopa, elle lui cria «  Va en quatre ! » et le suivit a coté, il ne pouvait pas courir aussi vite que sur une grande plaine mais il demeurait que ses capacités d’accélérations restaient sans égale. Un Dodrio des Dancing Feet vint a la rencontre du Galopa pour l'intercepter. «  Changement un demi de moins ! » Cria alors ma mère après trois seconde a regarder le Dodrio arriver. Je ne compris pas de suite a quoi faisait référence ces indications mais c'était efficace car le Galopa efface d'un mouvement d'épaule le Dodrio et poursuit sa course effrénée avant de faire une passe a ma mère qui poursuivit l'offensive dans l'axe un moment. La première mi temps fut intense et aucune des deux équipes ne parvenaient a réellement prendre le dessus sur l'autre. Un autre détail intéressant, mes parents semblaient s’éviter comme la peste mais je ne me faisait pas d'illusion. La clé du match allait être l'issue de leurs duels. Ou la compréhension de la tactique de l'autre. Et a ce petit jeu, ce fut mon père qui tiqua le premier. Au tout début de la reprise, il rassemble son équipe sur le bord du terrain et semble leur expliquer quelque chose. Reprise du jeu, engagement pour les Rythm'n Ball et de suite un « Va en trois ! » lancé par ma mère a une copie d'elle même, un Metamorph en fin de compte. Le Brasegali jette un regard a mon père pour confirmer alors qu'il allait a la rencontre du Metamorph Lucario. C'est en le voyant faire oui que j'ai compris. Sur les deux dernières foulées, il accélère et parvient a chiper le ballon. Ma mère calculait le rythme des foulées des adversaires et adaptait celle de ses coéquipiers en conséquence afin que ce soit a leur avantage. Je comprenais le pourquoi des noms des équipes, ma mère utilisait le rythme de course et des foulées et mon père celui de la danse. Ce sont des génies, faire cela en plein match, en plein effort. Quand un quart d'heure plus tard, il fut évident pour les deux capitaines que leurs spécialités ne pouvaient plus les départager, ils revinrent a un football plus traditionnelle. Et la, ce fut enfin le choc tant attendu. Les deux capitaines se faisaient faces, le ballon entre eux. Ils se toisèrent deux secondes, un mètre séparaient leurs regards plein de détermination. Personne n'osaient intervenir, leur duel ressemblait a une danse, ils ne se touchaient pas mais ils étaient si proche, le ballon changeait de pieds toute les deux ou trois secondes et toujours ce regard rivé l'un dans l'autre, comme si le rompre allait provoquer le déséquilibre chez l'un ou l'autre dans leur duel. Quand bien même ils avaient chacun plusieurs coéquipiers autour d'eux a qui faire une passe, aucun ne voulait lâcher le morceau, la foule les acclamaient pour le spectacle qu'ils donnaient ensemble. Quand enfin, une aspérité du terrain trahit ma mère et permis a mon père de prendre le dessus et d'avancer enfin avec le ballon. Pourtant cinq minutes plus tard, ce fut une incursion rapide de l’équipe de ma mère qui permis l'obtention d'un penalty transformé en but malgré un magnifique plongeon du gardien Mackogneur. 1 a 0 donc et après divers changements dans les deux équipes quand d'un coup, mon père eut une idée. Il en parle très rapidement au Kicklee de son équipe et cinq minutes plus tard, il put la mettre en application. Coup franc a trente mètre des buts adverses, il laisse le Kicklee le tirer, lui même se positionnant a droite du mur, un peu a l’écart comme si il ne voulait pas participer a l'action. Il restait peu de temps, cette action était donc très importante. Au coup de sifflet, le Kicklee pris sa course d'élan mais au lieu de tirer, il se mit le ballon un peu en l'air et utilise Ultimawachi non pas vers le but mais vers son capitaine. La balle venait très vite, si il devait la reprendre, il n'allait pas falloir qu'il se rate. Mais il ne la reprit pas du pied, il l'englobe dans une attaque Aura Sphère dirigé vers le but adverse. Le ballon avait acquis une telle vitesse et puissance que malgré le plongeon réflexe du gardien Tygnon, le ballon finit au fond des filets. La technique fut nommer Ultima Sphère par les commentateurs et cela le faisait. Il y eu alors des protestation sur le banc adverse, disant que mon père l'avait toucher avec les mains. Après examen de la réclamation, moult ralenti, le but fut définitivement valider, les mains n'ayant pas toucher le ballon. 1 partout désormais et seulement une poignée de minutes pour se départager. Vu le coté serrer du match, je m'attendais a une séance de tir au but mais pas du tout. Galvaniser par cette égalisation, les Dancing Feet semblaient revigorés, un second souffle les animaient et ils mirent une pression d'enfer sur la défense adverse. Les Rythm'n Ball étaient sur le reculoir, arc-bouter dans leur surface et ce qui devait arriver se produisit. Un magnifique cafouillage dans la défense qui fut sauver in extrémisme par ma mère. Sonnant la révolte, elle se projeta en avant, quand bien même la moitié des siens n'en pouvaient plus et encore une fois, mon père lui fit face. Une dernière danse, un dernier duel, comme pour mettre un point final a tout cela. A cause de la fatigue, cela ne dura qu'une quinzaine de seconde,mère fit une passe a un équipier qui directement frappa vers le but des Dancing Feet. Le tir était cadré, pleine lucarne, le Mackogneur parvint de justesse a la détourner sur le poteau avant de bondir pour la récupérer juste avant qu'elle ne finisse dans les pieds d'un adversaire. Le gardien se relève alors, ballon dans les mains, regarde le chronomètre. 10 secondes. 10 secondes avant la séance de tir au but. Le temps d'examiner ses possibilités de relance, cinq secondes s'étaient envolées. Mon père lui hurle alors '' Vas y bordel, tu es un Mackogneur nom d'un Ponchien ! '' Il fit donc la seule chose qu'il pouvait encore faire, lancer le ballon de toute ses forces vers le but adverse avec deux de ses quatre bras. Quand on sait la puissance qu'un seul de ses bras peut développer, j’eus pitié du ballon et du pauvre Tygnon . Que pouvais t'il faire face a un tel missile qui ne mit même pas deux secondes a lui arriver dessus ? Rien du tout. Même le filet ne fit que ralentir le ballon, qui traverse les mailles pour terminer dans un panneau publicitaire accrocher sur le bord des gradins. Le match se termina donc sur le score de 2 a 1. Scène de joie d'un coté, tristesse et déception de l'autre. Et puis, il y'eu les remises de prix. La deuxième place a toujours un goût amer quand on passe si près de la victoire et il est dur de rester pour acclamer l’équipe victorieuse. A la surprise de tous, mon père eut un geste d'une classe et d'une beauté. Il posa la coupe au sol, descendit les gradins au pas de course vers l’équipe deuxième et leur fit signe de monter. Certains ne comprirent pas de suite et vu la tête des autres, ils y avaient aussi de la méfiance. Ce fut ma mère qui montra l'exemple et tout les autres suivirent. Une fois tous en haut, mon père harangue la foule avec ses bras, tendant la coupe a ma mère pour qu'elle la soulève avec lui, avec tout le monde. Et lorsqu'un journaliste vint lui poser quelques questions, il s'empresse de prendre le micro avant la moindre question. Sa voix amplifié par le système son du stade retentit alors et on se chargea de traduire ensuite.
* C'est sans aucun doute le match le plus dur qu'on a mener, aussi bien eux que nous. On était super motivé, on s'est entraîner comme des fous pour être prêt pour ce match, on a tout donné et pour moi, il n'y a pas de premier ou de deuxième. Ils méritent autant que nous cette coupe, on a tous gagner quelque chose durant ce match. On a gagner en expérience, dans sa connaissance de soi, de ses limites, on a été même au delà de celle ci alors qu'on pensait ne pas pouvoir. Et voyez a quoi cela s'est joué. Il n'y a pas de bons match sans deux bonnes équipes et sans eux, sans nous, jamais ce match n'aurait put voir le jour. Ce soir, il n'y avait pas deux équipes sur le terrain. Il y'en avait une seule, une de 22 joueurs, plus tout les remplaçants, plus les entraîneurs et les soigneurs et vous tous le public rassemblé ce soir pour cette fête ! *
Mon père avait beau s’être épuiser durant le match, on aurait dit qu'il ne l'avait pas joué, survolté par quelque chose de plus fort encore que d'avoir gagner. La foule se mit a chanter, a frapper dans leurs mains, cela contamina bientôt les derniers irréductibles Rythm'n Ball triste d'avoir perdu et tous ensemble, ils redescendirent sur la pelouse pour un tour d'honneur d'anthologie. Et puis, alors que les deux équipes commençaient a rentrer aux vestiaires ensemble, mon père retint ma mère a l'épaule. Les deux capitaines se faisaient face sans un mot, un grand sourire illuminait le visage de mon père. Il lui dit quelque chose auquel elle répondit en souriant et a peine avait elle finit de répondre qu'il lui prit une main dans la sienne, pose l'autre a sa hanche et l'emporte dans une danse a mi chemin entre le slow et le tango. D'abord prise de court, ma génitrice sut rapidement rattraper le rythme. Ils dansèrent ainsi une poignée de minutes, danse pleine de sensualité malgré les quelques petites fautes due bien évidement a la fatigue. Et fut conclu par un pencher en arrière. Les spectateurs encore présent applaudirent et se mirent d'un coup a siffler. Alors qu'elle se redressée, il l'avait embrassé avec énormément d'envie et d'amour.
La vidéo s’arrêtait la et j'en pleurait. D'ailleurs qu'est ce que je faisait a genoux le visage collé a la télévision ? Je ne me souvenais même pas être descendu de mon fauteuil, j'avais appris tellement de chose sur mes parents en une seule fois. C'était donc ainsi qu'ils s'étaient connu ? Adversaire sur un terrain de football, capitaines de deux équipes arrivées en finale d'une compétition ? Et que s'était t'il passé après ? Comment étaient t'ils passés de star emblématique du football a la vie de pokemon sauvage ? Y'avait t'il un lien avec l'attitude de mon père vis a vis des humains ?
* Qu'y a t'il jeune Riolu ? Je t'ai observé et tu sembles bien bouleversé par ce match. *
L’hôtesse ! Je l'avais complètement oublié avec toute ces émotions. Qu'allais t'elle penser si elle savait que j'étais le fils des deux Lucario de ce match de football ? Devais je tout simplement lui dire ? Peut être en savait elle plus sur ce qui s'est passé après le match ? J'essaye donc de lui demander et...
* Oh tu es un petit curieux toi hein ? C'est vrai que vue les dernières images, on se doute bien de leurs lendemain. Après ce match, ils ont disparu toute la journée suivante et on les as retrouvés sur un terrain de foot public a jouer avec des enfants. De ce qu'on m'a dit, ils ont donnés deux trois leçons gratuitement et ils se sont ensuite éclipsé pour une soirée sur la cote, sous un soleil couchant. Puis deux jours plus tard, il voulait qu'elle intègre son équipe et devant le refus de l’équipe d'encadrement, elle l'a invitée dans la sienne mais il était tenu par un contrat. Il est alors entré dans une rage folle, lui qui d'habitude savait contrôler ses nerfs, nous n'étions absolument pas préparer. Il n'a plus jamais été le même, non pas avec ses coéquipier mais avec l'encadrement. Au point que la nuit même de la fin de son contrat, alors qu'il avait dit la veille qu'il y réfléchissait encore, a minuit pile plus une seconde, il a réunit son équipe sur le terrain pour visiblement un discours de départ et il est parti. C'est du moins ce que l'on a put en déduire des images de la vidéo-surveillance. Le reste de l'équipe, même si bouleversée par ce départ, a soutenue la décision et aucun n'a daigner lever le petit doigt pour aller lui demander de revenir. Et d’après la rumeur, la même chose s'est produite deux heures plus tard chez les Rythm'n Ball. On ne les a plus jamais revu depuis. *
Effectivement, je reconnais bien la mon père, quand il décide de quelque chose, il le fait et il ne renonce pas . Et c'était typique de la formation d'un couple chez les Lucario. Si on reconnaissait un congénère comme son égal, que la passion prenait le pas sur la rivalité comme durant ce match alors c'était le signe qu'on avait trouvé son ou sa partenaire.
* Dit moi jeune Riolu, tu sembles t’intéresser beaucoup au football, cela te dirait d'assister a la séance d’entraînement avec l’équipe ? Si ils ont le temps, peut être tu pourras participer aussi ? Ils ont déjà commencer mais ils doivent n'en être qu'a l’échauffement, tu n'as donc pas rater grand chose. *
Un peu que cela m’intéresse. J'avais hâte de rencontrer l’équipe de mon père. Après quelques minutes dans les couloirs, un souterrain et un escalier, je me retrouvais de l'autre coté du terrain, juste a coté des bancs des joueurs, qui s’échauffaient en faisant des tours de terrain. Je posa mon séant par terre et les regarde courir un moment. Je remarque d'un coup qu'aucun membre de l'encadrement n'est présent, que c'est le gardien Mackogneur le capitaine désormais et qu'il y'a qu'un joueur de diffèrent, un Kapoera. Après ce tour d’échauffement, ils installèrent divers équipements pour s’entraîner a slalomer, a dribbler et a tirer avec plus de précision. J'observais tout avec envie, probablement autant que lorsque je regardais l’entraînement aux sports de combat. Ce fut après trente minutes a les regarder qu'un ballon vint accidentellement vers moi...et qu'on me remarqua alors. Sans attendre, je renvoie la balle d'un solide coup de pied que personne ne se soucia d’arrêter, couchant même une silhouette d’entraînement au dribble. Si l’hôtesse n'avait pas fait le rapprochement entre moi et mon père, eux n'avaient mis que quelques secondes. Ce fut finalement le nouveau capitaine qui prit l'initiative d'aller me voir. Sacré colosse un Mackogneur quand on y pense.
* Eh petit, reste pas planté la, viens t'amuser avec nous. *
Il avait une voix grave mais énergique et je lui répondis alors.
* M'amuser ? C'est drôle, moi on m'a dit que c'était un entraînement. *
* Un bon point pour toi bonhomme. Allez viens t’entraîner avec nous, cela n'engage a rien. Tu as déjà toucher a un ballon ou pas ? Tel que je le connais, il n'a même pas du te dire que le football existait, je le comprend, vu ce qui s'est passé. *
* Une seule fois, il y'a trois mois alors que je découvrais cette ville. J'ai trouver cela intéressant, c'est un bon exercice de coordination des jambes . *
Il rit de ma réponse et m'amène auprès de toute l’équipe a laquelle il confirma ce que tout le monde pensaient, que j'étais le fils de leur ancien capitaine. Vous imaginez bien la pression maintenant, tout le monde va vouloir savoir si j'ai hérité du talent de mon père et de ma mère. Et si je me trouais complètement ? A n'en pas douter, ce serait la déception. Ils attendirent que je fasse quelques tours de terrain pour poursuivre ensuite l’échauffement avec moi.
* A ta foulée, je reconnais bien la l’héritage de ton père, il avait cette même façon de courir. Bon écoute bonhomme, avant d’être gardien, j'étais joueur de champ, milieu de terrain si tu veux tout savoir. L'ancien gardien s’était gravement blesser et ne pouvait plus jouer au football. C'est la que ton père a eu la brillante idée de me mettre dans les cages ( imitation de la voix de mon père ) avec autant de bras, ce sera du gâchis de ne pas profiter de cet atout, en plus de la puissance que je peut déployer avec. Du coup, comme j'ai un peu de temps devant moi, je vais t'apprendre un peu les bases du football. Si tu es le digne fils de tes parents, cela devrait t’être d'une risible facilité. *
Attrapant un ballon dans le filet qui en contenait une bonne dizaine, il me le mit dans les mains et repris
* Voila un ballon de football identique a ceux dont on se sert en match. Si tu as jouer avec des enfants humains, tu as sans doute remarquer que celui ci est un peu plus lourd et c'est normal, il est fait d'un matériau conçu pour mieux résister aux agressions que nous pouvons lui faire. Mais il n'en reste pas moins qu'il est tout autant parfaitement sphérique et lisse. Et un ballon, cela se comprend. Le ballon te parle, il s'exprime et toi en temps que joueur, quelque soit ton poste, le plus important est de l'entendre, de le comprendre. Non je ne suis pas fou, c'est ton père qui disait cela. Au début, je l'ai pris pour un fou aussi puis j'ai essayer et j'ai beaucoup progresser. Si tu comprends le ballon, alors un gardien saura mieux lire la trajectoire d'un tir, un défenseur saura mieux contrer une attaque, un milieu de terrain saura redistribuer le jeu plus efficacement et un attaquant saura mieux tirer et donner l'effet qu'il souhaite. Comprendre le ballon, c'est la base bonhomme, c'est la fondation de l'édifice du joueur de football, quelque soit ton poste. *
Il me parle ainsi durant dix bonne minutes, j'étais la a boire ses paroles comme du petit lait, avide d'apprendre. Il installe ensuite des petits plots, créant des portes sur une trajectoire en zig-zag.
* Un joueur de football, quelque soit son poste, doit avoir une conduite de balle irréprochable. Quand tu as le ballon, ce n'est pas le ballon qui dirige le joueur, c'est le joueur qui dirige le ballon. Vas y montre moi ce que tu es capable. *
Mon premier test, j'avais le cœur qui battait très fort. Mais j'étais aussi très motivé alors je fis de mon mieux pour ne pas paraître ridicule. En fait c'était facile une fois qu'on a attraper le truc.
* Bien, c'est pas mal pour un novice comme toi. J'en ai vu qui n'était même pas capable de toucher le ballon du pied sans tomber par terre. Juste fait attention a ne pas trop utiliser la pointe du pied, sinon tu propulse le ballon trop loin. Aller recommence encore deux trois passages et après on passera a autre chose. *
Je recommence donc et c'est vrai qu'en faisant attention a ne pas utiliser le bout de mes pieds, le ballon reste plus proche du pied et je peut travailler sans cesse sa direction, plus précisément et cela me donnait plus d'agilité.
* Bien ! Beaucoup mieux. A ce que je vois, tu n'es pas essoufflé, ce qui me laisse penser qu'il t'a entraîner a l'ancienne, dans la nature n'est ce pas ? *
* Oh oui. Quand mon père m’entraîne, il ne fait pas semblant et même ma mère prend le relais de temps en temps. *
* Sacré Lucario ton père. Je n'ai pas côtoyer ta mère autrement qu'en adversaire mais je sais que ton père passait son temps a s’entraîner et sa motivation était contagieuse. Parfois il nous emmenait dans ses entraînements spéciaux et j'ignore comment il s'y prenait mais on arrivait pas a le suivre plus de la moitié de la séance pour les trois quart d'entre nous et aucun ne parvenait a finir l’entraînement. J'ajoute que cela rendait fou l’équipe d'encadrement qui se retrouvait comme des idiots sur le terrain avec aucun joueurs a entraîner. Mais comme a coté, on gagnait nos matchs alors ils ne disaient jamais grand chose. *
* Il n'a absolument pas changer dans ce cas. Bon il a quand même adoucit pour moi vu qu'il ne pouvait pas m'imposer ce qu'il s'imposait lui même, je suis encore jeune. *
* Ça viendra petit, ça viendra et quand il le fera, tu vas pleurer. Aller, la séance nostalgie est terminé, on reprend. Voyons ce que cela donne de frapper au but. Cela m’entraînera aussi. N’hésite pas a frapper de tout ton cœur. Mais ne cherche pas compliquer pour commencer, entraîne toi a cadrer. *
Effectivement, mes premiers tirs manquaient de précision mais cela ne semblait pas décevoir. Le huitième accrocha le poteau, le neuvième la transversale et le dixième fut enfin cadré. A partir de celui la, je me mis a essayer différente façon de frapper et le Mackogneur les arrêtaient tous. Mais ce n'était pas le fait de ne pas marquer qui m’intéressait. Je sentais monter en moi quelque chose que je ne connaissait pas et cela s’appelait la passion. Je commençais a avoir la passion du football, autant que celui du combat et a ce moment précis, j'en étais pas encore a faire un choix.
* C'est bien petit aller continu, c'est de mieux en mieux ! Fais attention a ne pas être trop penché en arrière quand tu tires sinon cela s'envole trop haut. *
Mais avant d'avoir put faire de nouveau essais, les entraîneurs vinrent sur le bord du terrain et appelèrent tout le monde. Il y'avait des soigneurs, des jardiniers pour contrôler l'état du terrain et des entraîneurs, forcement.  Ils ne me remarquèrent pas tout de suite, quand bien même j’étais tout nouveau.
* Oh mais qui es tu donc toi ? On nous a pas avisé d'une nouvelle recrue. *
L’hôtesse intervint alors.
* Il est arrivé il y'a deux heures a l'accueil et semblait montrer beaucoup d’intérêt pour le club alors je me suis dis qu'il pouvait assister voir participer a l’entraînement. Qui plus est, avec la blessure de... *
* Mademoiselle, il me semble que nous avons un centre de formation dans lequel puiser si nous avons un soucis d'effectif. De plus, l’entraîneur ici c'est moi donc faites moi le plaisir de raccompagner cet intrus a la sortie. *
Quel mufle. Il n'avait certes pas tort, ils ont un centre de formation en cas de besoin mais de la a traiter l’hôtesse ainsi. Je devais donc m'en aller, je fis mes au revoir a tout le monde quand le Mackogneur, ayant ramasser un ballon, me le lança puissamment d'un de ses bras sans me prévenir.
* Tiens petit, cadeau. *
Aucune chance que je le rattrape sans me faire très mal, j'ai donc réagis instinctivement, utilisant Forte Paume pour contrer le ballon. Celui ci se stoppa contre ma paume, la secousse secoua tout mon corps mais je tint bon. Qu'avais voulu faire le Mackogneur par ce geste ? Voulait t'il faire remarquer aux humains que j'étais le fils de leur ancien capitaine de leur équipe ? En tout cas, mon arrêt eut son petit effet.
* Effectivement, ce Riolu semble avoir quelques talents inné et des réflexes en plus d’être plutôt fort. Écoute – s'agenouille pour me parler a ma hauteur – je t'ai sans doute mal jugé au premier abord et je m'en excuse. Cependant on ne peut pas faire participer n'importe qui a nos entraînements sinon, n'importe qui viendrait en faire autant et on s'en sortirait pas nous même tu comprends. En ce moment, on est a cran...Si tu peut revenir plus tard, voir demain, ce serait mieux. *
J'avais quelques jours de repos alors je pouvais bien revenir demain. J'acceptais donc et suivit l’hôtesse avec le ballon. Dix minutes plus tard, j'étais a la sortie et vu l'heure, je me dirigea vers le centre Pokemon pour retrouver l'Evoli qui m'attendais joyeusement sur le comptoir, a aider l'infirmière a trier des papiers. Elle me rejoignit d'un bond et me lécha la joue, contente de me revoir. C'est vrai qu'elle avait meilleure mine et elle avait pris un bon bain, elle sentait très bon, son poil était super doux. Je lui raconte donc ce que j'ai fait en attendant tout en sortant du centre Pokemon et en me dirigeant chez la vieille dame.  Elle semblait impressionner même si elle m'avoua ne rien connaître au football. Après dix minutes de marche, on se retrouva devant la petite maison proprette de la vieille dame. L'Evoli semblait un peu anxieuse aussi j’ouvris la marche en même temps que le portail et je toqua a la porte, attendant que la propriétaire ouvre. L'Evoli était cacher derrière moi, a regarder timidement quand la personne âgée ouvrit et sourit en me voyant.
* Oh mais tu n'es pas venu seul. Tu t'es fait un ami, c'est bien. Aller rentrez, vous allez bien rester un peu me tenir compagnie. Et n'ai pas peur Evoli, je ne vais pas te manger. *
Entrant dans la maison, un bon feu ronflait dans la cheminée. Je dépose mon ballon a l'entrée tandis que l'Evoli se faisait déjà cajoler par la vieille dame qui était allés se rasseoir dans son fauteuil a bascule. Au début, cette Evoli était tendue, elle ne parvenait pas a se détendre après ce qu'elle avait subit plus tôt dans la journée. L'humaine le sentit aussi.
Oh toi, tu n'as pas l'habitude d’être dorloté. Je ne vais pas te faire du mal tu sais alors détends toi.
Elle ne savait évidement pas ce qui s'était passé aussi j'entrepris d'expliquer la situation de l'Evoli. Comme d'habitude, ce n'était pas évident, il me fallut dix minutes pour lui faire comprendre et elle fut choquée.
* Oh pauvre petite, tu m’étonnes que tu sois tendue. Je suis désolée, je ne savais pas. Ah lala la jeunesse de demain...pauvre demain. S'il te plaît jeune Riolu, tu peut prendre le cadre photo qu'il y'a dans ma chambre s'il te plaît ? Prend aussi ce qu'il y'a a coté tant qu'a faire. Je vais vous raconter une histoire ensuite. *
Curieux, je me dirigea dans le logis jusqu’à trouver sa chambre et j’aperçus dans la pénombre le cadre ainsi que l'objet a coté. Je pris chacun des objets sans vraiment savoir ce que c'était mais de retour a la lumière du salon, je me rendit compte que l'objet était une Pokeball stylisé et que le cadre représentait une femme châtain clair tenant dans ses bras un Evoli qui lui léchait la joue. Il ne fallait pas être très intelligent pour comprendre que cette femme et la vieille dame était la même personne. La peur me prit de comprendre où se trouvait l'Evoli de la photo. Je lui donnais les deux objets et elle les regardent, le regard s'humidifiant, montrant le cadre a l'Evoli.
* Je l'avais appeler Valneo. Je l'avais trouver dans un val que je ne connaissait pas d'où le nom. A l'époque, j'étais enseignante a domicile. La plupart du temps, c'était a la ville donc je n'avais pas a m’inquiéter pour ma sécurité mais parfois, je devais aussi me rendre dans des endroits reculés où je ne pouvais aller en voiture. Un soir de grosse tempête, je me suis fait surprendre en me rendant dans un chalet de montagne où j'avais rendez vous et sur le chemin, j'ai aperçut Valneo coincer sous une grosse branche d'arbre. Mais surtout, il était dans un creux et la moitié de son corps était immergé, si je ne faisait rien, il allait finir par se noyer alors j'ai fait mon possible pour le sortir de la. Nous étions trempés jusqu'au os quand nous sommes arrivés a destination et fort heureusement, mon client avait tout chez lui pour soigner l'Evoli. Nous sommes rester coincer dans le chalet deux jours durant. Et en repartant, j'ai déposer Valneo plus ou moins a l'endroit où je l'avais trouver. Il m'a remercier puis s'en est aller dans les bois. Moi, je suis retourner a mon véhicule mais au moment où je démarrais, grosse frayeur. Valneo venait de bondir sur le capot. Il avait changer d'avis et voulait m'accompagner. Ce fut ainsi qu'il devint mon Pokemon. Par la suite, nous devinrent de parfait complices, il m'était très utile pour les enfants très timide, il savait très bien les approcher, il était très câlin et il m'a sauver quelques fois de voleurs. Il n'a jamais désiré évoluer, semblant me dire qu'il se sentait très bien ainsi. Et puis il y'a cinq ans, il s'est endormit paisiblement et ne s'est plus jamais réveiller. Il avait même en expirant un sourire. Je l'ai enterrer dans le jardin et je viens lui parler souvent quand la solitude me pèse. Parfois, j'ai l'impression de sentir sa langue me lécher la joue et je retrouve ma joie de vivre. *
J'étais très touché par son histoire et la Evoli aussi. Les humains n'étais pas tous sans cœur, il y'avait aussi des bons humains avec un cœur et très gentils avec les Pokemon. Il y'avait de l'espoir. Plus joyeusement, nous nous occupâmes le reste de la journée, l'aidant du mieux que l'on pouvais et a la fin, nous avions des Poffins fraîchement fabriquer et c’était délicieux a souhait.
L'Evoli semblait savoir bien mieux se débrouiller que moi avec les outils humains même si au bout du compte, elle se retrouvait avec de la farine un peu partout sur elle. Elle semblait bien s'amuser, j'imagine qu'elle avait finit par accepter de rester avec cette humaine. C'est ce que j'en ai compris, elle avais refuser de se faire capturer a nouveau mais elle avait accepter de rester avec la vieille dame. Sans doute ne guérira t'elle jamais entièrement de ses mauvais traitement mais au moins elle recevait de l'amour et de la tendresse de la personne âgée. Moi, j'étais partis avec mon ballon, il se faisait tard et la nuit tombait rapidement. Je fus chez moi alors que la lune était au plus haut dans le ciel. Les étoiles brillaient bien en plus, c'était magnifique. Je découvris la grotte de mes parents vide et je devinais alors qu'ils avaient dut allés s'allonger au sommet de la colline. Ils faisaient souvent cela quand la nuit était belle comme maintenant. Et effectivement, ils étaient la et me regardèrent m'allonger entre eux.
* Oh amour, regarde ce qu'il nous a rapporter, je me demande bien ce que c'est. *
* Sans doute une invention humaine, je me demande a quoi cela sert. *
Gros moment de perplexité. Pourquoi faisaient t'ils semblant de ne pas savoir ce qu'étaient un ballon de football ? Mon père me l'emprunte et se met a le manipuler, a essayer de croquer dedans puis il le renifle. C'est en le reniflant que son expression changea, il redevint aussi sérieux que durant nos entraînement et il lança alors un regard a ma mère qui visiblement compris aussi.
* Fils, les villes des hommes sont nombreuses mais il a fallut que tu trouves celle dans laquelle je ne voulais pas que tu ailles. Tu me connais, je n'aime pas interdire des choses mais il y'a un début a tout. Je t'interdis de retourner dans cette ville. *
* Mais père je... *
* Il y'a pas de mais. Tu obéis et puis c'est tout. Il y'a des choses bien plus importante dans la vie que ces sottises inventées par les hommes. *
* Je ne comprends pas. Tu semblais pourtant si passionné par le football, par cette sottise comme tu dis et a voir cette finale où tu as rencontrer ma mère, j'ai du mal a croire que cette passion ai tout simplement disparut, comme si elle n'avait jamais exister. *
Presque en instantané, je me pris une baffe, non pas de mon père mais de ma mère. Mon père lui s'était lever en grognant sans répondre. Mère me dit alors d'un ton cassant qu'elle n'avait jamais employé, du moins pas avec moi.
*Apprends que plus fort que la passion, il y'a la raison. La passion pousse a faire des choses qui sont irrationnel.*
Et elle se lève a son tour pour rejoindre mon père dans la grotte. J'étais, oui abasourdi et complètement sonné de leurs réactions. Surtout de ma mère, elle n'avait jamais eu le moindre geste d'autorité envers moi, elle venait carrément de me gifler. Pour la première fois, alors que je m'étais résolut a dormir dehors, je ne savais pas quoi penser ni comment les aborder quand le matin suivant montra le bout de son nez.
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