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« Je volerai de mes ailes aiguisées. Je toucherai le ciel de mes doigts ensanglantés. Je prendrai ton cœur de mille manière qui soit. » ♛ Pv. Aëllya Müller ♥
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« Je volerai de mes ailes aiguisées. Je toucherai le ciel de mes doigts ensanglantés. Je prendrai ton cœur de mille manière qui soit. » ♛ Pv. Aëllya Müller ♥
Mar 2 Mai - 19:20

「 Je volerai de mes ailes aiguisées. Je toucherai le ciel de mes doigts ensanglantés. Je prendrai ton cœur de mille manière qui soit. 」

Mamã & Aëllya
Mamã se rendait bien compte qu'agir ainsi mettait sa santé en jeu; enchaîner nuit blanche sur nuit blanche, ne manger que le strict minimum, passer six heures à s'entraîner chaque jour... Ses journées étaient affreusement chargées et son corps n'arrivait plus à suivre cette cadence. Que se soit par des évanouissements, des montées soudaine de fièvre... La brune finissait bien plus souvent à l'hôpital ou dans une infirmerie quand dans son propre bureau. Elle soupira, longuement. Bien qu'elle se rendait compte de tout cela, de la pression affreuse qu'elle exerçait sur son organisme... Elle ne s'arrêtait pas. Jamais. Cette ténacité qu'on lui reconnaissait allait très certainement finir par être la cause de sa mort.

Rire jaune.

Elle préférait encore être torturée durant des millénaires plutôt que de mourir d'une façon aussi... Pitoyable. Morte de sa propre bêtise ? Eh, ça serait sa mère qui serait déçue ! Soufflant une énième fois, la policière tapota le bout de son crayon contre son bureau, tentant de combattre la fatigue. Elle devait au moins finir ce qu'elle avait commencer. Juste... Finir. Après, elle pourrait très bien rattraper le sommeil qui lui manquait... Secouant vivement la tête, la brune abandonna cette idée; elle devait se lever tôt pour ses entraînements matinaux en compagnie de ses pokemons, pour parfaire sa maîtrise de l'exosquelette Raptora. Mais alors qu'elle s'appuyait sur le dossier de sa chaise, laissant sa main tomber nonchalamment sur le côté, elle sentit une légère pression sur celle-ci. Un petit sourire s'afficha sur son visage quand elle reconnut la douceur et la souplesse des plumes de Pharaon.

« Tu es venue me traîner au lit, hein ? », murmura t-elle doucement, caressant le crâne de son pokemon.

Le Gueriaigle poussa un faible cri, pour ne pas réveiller les autres pokemons présents, et posa attrapa la manche de sa dresseuse pour la tirer légèrement en arrière. Riant de bon cœur, la policière le chassa néanmoins, gentiment. Elle n'avait vraiment pas le temps de dormir; sa paperasse était bien trop importante et il fallait absolument qu'elle s'en occupe le plus rapidement possible.

« Je sais que tu es inquiet mais désolée, non, je n'irais pas dormir. Il faut encore que je finisse tout ça. », elle tourna la tête de son pokemon vers son bureau, ordonné, ou traînait quelques feuilles vierges. « Mais une fois cela terminé, promis, j'irais. Maintenant, va-t-en, aller ! »

Elle poussa légèrement Pharaon pour ainsi revenir contre son bureau, se remettant au travail. Mais alors qu'elle s'était enfin apprêtée à poursuivre, la brune sentit quelque chose la pousser en arrière, tentant de s'insinuer sous le bureau. Son Gueriaigle était vraiment pas croyable ! Un léger sourire au visage, elle se mit à doucement rire, reculant de nouveau pour permettre à son oiseau de se positionner à son aise sous le bureau. Il posa ensuite sa tête sur les genoux de sa dresseuse, levant ses yeux si doux et compatissant vers celle-ci, l'air si innocent.

« Pour cette fois-ci, je laisse passer Pharaon. Mais la prochaine, tu iras dormir avec les autres, d'accord ? »

Pour toute réponse, l'oiseau piailla doucement avant de lover un peu plus sa tête contre les jambes de Mamã. Celle-ci, incapable de résister, caressa tendrement son pokemon, faisant bien attention à ne pas le déranger, avant de reprendre son travail. J'adore Pharaon, mais parfois, il est vraiment envahissant. Un regard tendre, des gestes doux, un silence apaisant... Décidément, malgré ce que pouvait penser ou dire la policière... Elle adorait plus que tout ses pokemons.


Quand la policière se réveilla au son strident de son réveil, elle fut confrontée à l'aile massive de Râ, qui s'était décidée à dormir avec elle. Je n'y crois pas... Un sourire amusé au visage, elle dégagea gentiment l'ancien pokemon de sa mère, avant de se redresser lentement. Mamã était si fatiguée et pourtant... Elle ne pouvait pas se permettre de sauter même un seul de ses entraînements; ils étaient bien trop importants. Elle se devait d'être toujours en forme, prête à battre quiconque oserait faire du mal à un innocent, ou même à appréhender un criminel s'il commettait un quelconque délit. La policière était sûre de ça, sans même se rendre compte que sa fatigue pourrait aussi l'empêcher de faire cela.

Rangeant ses pokemons dans leurs pokeballs respectives, la brune se dépêcha de sortir. Elle n'avait pas plus de deux heures pour s'entraîner, car après, elle serait obliger de retourner au QG des Services Secrets pour finir les papiers qu'elle n'avait pas eu le temps de faire la veille. Si ennuyant. Mamã était une femme d'action, elle se devait d'être sur le terrain, se battant pour la justice ! Pas derrière un bureau, à remplir des papiers plus inutiles les uns que les autres ! Et pourtant... Elle ne pouvait rien dire; s'il elle ne se retrouvait pas sur un champ de bataille, c'était que tout se passait bien et dans un sens... C'était pour une vie comme ça qu'elle se battait sans cesse. La brune souffla, dépitée. Il n'était pas temps pour elle de se plaindre. Au moins pouvait-elle se vanter d'avoir réussis à avoir ce travail. Mère aussi devait trouver cela ennuyant, songea t-elle, un sourire flottant au coin des lèvres. Pour éviter de finir trop nostalgique et morose, la policière s'empressa de démarrer sa course, tentant vainement de chasser l'image de sa mère de son esprit.

Après une heure à courir et à faire ses multiples étirements, la brune se sentit de plus en plus nauséeuse, alors qu'une migraine assez violente venait empirer son cas. Ne pouvant plus tenir, la policière s'arrêta un instant, pressant sa paume contre son poignet. Ça va partir... Aller... Après quelques minutes, interminables selon elle, Mamã alla s'asseoir sur un banc libre, assez violemment. La douleur persistait, s'aggravait même. Et pour ne rien arranger, elle sentit à travers sa main que sa tête commençait à sérieusement chauffer. Bon sang, pas une montée de fièvre... Pas maintenant ! La brune se mordit avec force la lèvre inférieure, tentant de faire taire ses halètements et ses gémissements, mais cela ne fit qu'empirer sa situation; alerter par l'état de la femme, un passant s'était dépêché de voir si elle allait bien.

« Excusez-moi madame, vous avez besoin d'ai...? »

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que Mamã lui adressa le regard le plus noir qu'elle put donner en l’instant présent. Elle n'avait besoin de l'aide personne. C'était ce qu'elle aurait souhaité dire mais ses mots restaient coincé au fond de sa gorge, incapable de se prononcer. Bordel ! Mais alors qu'elle fixait l'inconnu d'un œil peu aimable, la policière vit soudainement son champ de vision se brouillée, alors, qu'incapable de contrôler ses membres, elle se laissa tomber sur le côté. La dernière chose qu'elle put entendre avant de sombrer totalement fut l'hurlement du passant, qui s'empressa d'appeler une ambulance.


Mamã, se réveillant doucement, ne put retenir un léger gémissement de plainte quand elle ouvrit les yeux; une vive lumière venait de l'aveugler.

« Où... Où suis-je ? », marmonna t-elle, ses yeux n'étant pas encore habitué à la luminosité de l'endroit.

La brune tenta de se redresser, ne supportant pas rester ainsi allonger, mais retomba rapidement sur ce qu'elle pensa être un lit. Ses bras n'avaient pas supporté son poids. Lâchant un faiblement grognement de mécontentement, Mamã essaya de nouveau mais retomba de nouveau, lourdement, sur le lit...

« Bordel », jura t-elle avant de lâcher un rapide grognement de douleur, pressant de nouveau sa main contre sa tête.

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Re: « Je volerai de mes ailes aiguisées. Je toucherai le ciel de mes doigts ensanglantés. Je prendrai ton cœur de mille manière qui soit. » ♛ Pv. Aëllya Müller ♥
Mar 2 Mai - 19:41
ft. Aëllya & Mama
Aëllya devient le nouveau médecin attitré d'une jeune femme connue pour être particulièrement auto-destructrice et tête brûlée. C'est son premier contact avec celle-ci, comment va-t-elle réagir ?

Première approche.
<< Tourne pour voir ? >>

Melly sautille et entame un tour complet sur elle-même à vitesse modérée. Je plisse les paupières, inspecte la nouvelle tenue d'un œil critique. De mon point de vue, elle est bien mieux travaillée que la première, mais elle manque encore cruellement de savoir faire. Melly me regarde, penche la tête sur le côté. Le sourire de la marionnette que je lui ai confectionné lui sied tout à fait, je suis au moins satisfaite d'un point.
J'aimerai encore retoucher la tenue, y apporter quelques modifications, mais le téléphone sonne. Fin de la récréation. Je lui caresse tendrement la tête avant de me lever pour aller décrocher.

<< Docteur Müller à l'appareil. >>

A l'autre bout du fil, un collègue plus dépité que réellement inquiet. Il m'explique que mademoiselle Adéaaïk (un nom que j'ai déjà entendu plus d'une fois) sa patiente depuis quelques semaines, est tombée inconsciente dans l'après-midi. Elle est actuellement reconduite auprès de nos services après un rapide examen de la part des urgentistes. Diagnostique : surmenage. Si jeune et déjà épuisée au travail ?
Mon collègue m'explique que le dossier de la jeune femme m'est désormais confié, puisqu'elle refuse tout dialogue avec lui et que les soins ne sont pas envisageables sans l'accord du patient. Une femme la mettra plus à l'aise, c'est ce qu'ils ont dû penser.
Je hoche pensivement la tête tout en raccrochant le téléphone.

Je traverse le salon et me dirige dans la salle de bain. Là-bas, j'attache soigneusement mes cheveux et passe un peu d'eau sur mon visage. J'enfile de petits talons (cinq centimètres, confortables et sophistiqués !). Je décroche mon manteau et je m'arrête devant Melly :

<< Encore une qui n'en fait qu'à sa tête. >> je souffle en lui adressant un clin d'oeil complice, avant de sortir.

- - - -

Je parcours du regard le dossier médical qui m'a été apporté, en même temps que la demoiselle. Surmenage, surmenage, surmenage... Rien de très glorieux dans le fait de se tuer à la tâche. Ceci dit, je ne peux pas dire qu'elle n'est pas investie dans son travail. Quand bien même, il faut qu'elle apprenne à modérer ses efforts et à les adapter à son état de santé. Je pense que mon travail ne sera pas simplement de la remettre en état, à première vue, et d'après les commentaires laissés par mes prédécesseurs, la tâche s'annonce hardue.
Perdue dans mes pensées, je suis tirée de mes réflexions par le juron de ma patiente qui semble enfin émerger.
Je dépose le dossier lié par un trombone sur mon bureau, remonte les manches de ma blouse jusqu'au niveau de mes coudes, avant de m'approcher du lit de la jeune femme.

<< Bonjour Mademoiselle Adéaaïk, avez-vous bien dormi ? Comment vous sentez-vous ? >> je demande, sincèrement intéressée par la réponse.

Elle a un visage fin, et sa position suggère qu'elle a peut-être mal au crâne. Déshydratation possible ? Je lui laisse quelques secondes avant de me présenter, tout sourire :

<< Je suis le Docteur Müller. Je suis désormais affectée aux soins et consultations qui vous concernent. Désirez-vous quelque chose à boire ? De l'eau ? Du thé ? >>

Je lui laisse le choix de refuser, du moins, pour l'instant. Son état n'est pas suffisamment grave pour faire dans la précipitation, ceci dit, elle n'est pas en forme non plus.
Les formalités passées, je démarre mon propre diagnostique. Je pose ma paume sur son front pour évaluer sa température. Je prend son poignet entre mes doigts pendant une minute pour obtenir son pouls.
Peau fraîche et humide, cœur trop rapide...

<< Quand et qu'avez-vous mangé pour la dernière fois Mademoiselle Adéaaïk ? >>

Je sors une lampe de poche et me permet de la braquer sans remord dans les yeux de ma patiente. Les pupilles se rétractent tout à fait correctement, pas de traumatisme crânien dû à une éventuelle chute suite à sa perte de conscience.

<< Vous avez de jolis yeux ! >> dis-je pour démystifier le geste.
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Re: « Je volerai de mes ailes aiguisées. Je toucherai le ciel de mes doigts ensanglantés. Je prendrai ton cœur de mille manière qui soit. » ♛ Pv. Aëllya Müller ♥
Mar 2 Mai - 19:51

「 Je volerai de mes ailes aiguisées. Je toucherai le ciel de mes doigts ensanglantés. Je prendrai ton cœur de mille manière qui soit. 」

Mamã & Aëllya
La brune fut surprise quand elle entendit quelqu'un lui parler, non loin d'elle. Mais elle était où, bon sang ? Elle haïssait tellement cette sensation, ce sentiment d'impuissance... Grognant légèrement de frustration, la policière se décida néanmoins à se calmer, pour pouvoir identifier les éléments qui l'entourait et surtout, la personne qui venait à l'instant de lui parler. Comment connait-elle mon nom...? Instinctivement, Mamã se braqua; un nouveau médecin, encore ? Sauf que cette fois-ci, il semblerait que ce soit une médecin. Légèrement crispée, la femme cligna à nouveau plusieurs fois des yeux pour pouvoir distinguer l'inconnue qui allait sûrement la sermonner, comme tout les autres. Après plusieurs secondes, la dresseuse abandonna.

« Trois heures de sommeil. », grogna t-elle, incapable de former des phrases correctes tant sa tête lui faisait mal. « Bien. Très bien. »

La policière avait l'air seulement d'aller bien ? Sa tête était sur le point d'exploser et elle était incapable de bouger le moindre de ses membres. Elle était si pitoyable et incapable, en cet instant... Mais alors que la brune jurait mentalement après sa faiblesse, elle fut subitement intéressée par ce que venait de dire la médecin. Ainsi, elle s'appelait Müller et surtout, elle allait remplacé les vieux croûtons qui n'avait rien pu faire pour la changer. Pourquoi une femme, sérieusement ? J'aurais encore préféré un autre vieillard, souffla t-elle, dépitée. La présence de la gente féminine la gênait tellement, comment pourrait-elle seulement se conduire naturellement avec la dénommée Müller ? Heureusement qu'elle ne pouvait pas voir son visage sinon la policière se serait dépêchée de partir d'ici, en rampant s'il le fallait ! Son aversion envers les femmes étaient si pénible !

Quand sa médecin lui proposa quelques boissons, la brune se contenta de secouer la tête; il fallait qu'elle parte d'ici. Elle n'avait pas terminé sa paperasse et surtout, au grand surtout, elle n'avait pas le droit de rater même une seule journée de travail ! Et pourtant, sa gorge ainsi que sa bouche, aussi sèche que pouvait l'être le Sahara, réclamait quelque chose de rafraîchissant. Peut-être que sa soif était une raison du faire qu'elle avait autant de mal à articuler.

« Pas soif. »

Mamã se crispa quand elle sentit la main de la médecin sur son front, puis sur ses poignets. Si elle avait pu, elle se serait dépêchée de prendre sa main pour l'empêcher de toucher à ses cicatrices. Malheureusement, dans l'état actuel des choses, la brune pouvait à peine bouger son petit doigt. Cependant, malgré sa vision floue, elle arrivait tout de même à distinguer la forme de la femme. elle ne se gêna pas donc pour lui laisser le regard le plus noir qu'elle pouvait donner; elle détestait qu'on la touche ainsi et surtout, elle l'empêchait de travailler !

Alors que la brune s'apprêtait à répondre à sa question, la médecin dirigea soudainement une vive lumière vers l'une de ses prunelles. Tentant, instinctivement, de la fermer, Mamã en fut cependant incapable. Elle aurait pu prévenir, tout de même, gronda la policière. Une fois habituée à cette torture, la dresseuse répondit aux questions de l'inconnue, espérant qu'elle cesse rapidement de l'importuner et la laisse partir.

« Il y a deux jours. C'était des baies. »

Mamã savait qu'en disant ça, la médecin allait sûrement la rabrouer ou la forcer à manger mais mentir ne servirait à rien. Et puis même, elle l'avait bien trop fait à ses anciens médecins et sûrement que celle-ci se douterait si elle tentait de la faire. Et alors qu'elle venait de répondre, la brune ne put s'empêcher ses joues de rosirent légèrement -heureusement cacher par sa peau sombre-.

« ... Merci. »

Pourquoi l'avait-elle seulement complimenté ? Pour la mettre à l'aide, sûrement ? Dommage pour la médecin; cela avait eu l'effet inverse. La brune ne souhaitait désormais plus qu'une chose: partir d'ici le plus rapidement possible. Et si pour cela, elle était obligée de se jeter par terre pour ramper jusqu'à chez elle, et bien ainsi soit-il. Mamã avait déjà réussis à échapper à l'un de ses médecins en se jetant par la fenêtre avant de se rattraper une branche pour éviter d'empirer sa jambe, qui s'était alors cassée quelques heures plus tôt, lors d'un de ses entraînements. Si elle avait pu faire ça, alors elle n'aurait aucun mal à rentrer chez elle par la seule force de ses bras !

C'est enfin ce qu'elle s'était dit avant de se rappeler qu'elle n'avait ni de force dans les jambes, ni dans les bras. Bordel.
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Re: « Je volerai de mes ailes aiguisées. Je toucherai le ciel de mes doigts ensanglantés. Je prendrai ton cœur de mille manière qui soit. » ♛ Pv. Aëllya Müller ♥
Mer 3 Mai - 2:22
ft. Aëllya & Mama
Aëllya devient le nouveau médecin attitré d'une jeune femme connue pour être particulièrement auto-destructrice et tête brûlée. C'est son premier contact avec celle-ci, comment va-t-elle réagir ?

Ordre du médecin !

J'aimerai bien examiner le reste de son corps pour être sûre qu'il n'y a pas de lésion ou de traumatisme quelconque, mais je me retiens. Du moins pour l'instant. Car je vois bien que la jeune femme est tout à fait déboussolée. Perdre conscience au milieu d'un parc et se réveiller dans un milieu hospitalier avec une personne que l'on ne connait pas, ce doit faire un choc.
L'évocation de ses trois heures de sommeil me fait grimacer. Si peu ? Même une personne n'ayant pas besoin de beaucoup de repos ne dors pas si peu de temps. C'est six heures minimum, sans ça, le cerveau n'a pas le temps de trier tout ce qu'il a emmagasiné et le corps ne peut pas récupérer de façon optimale. Je croise les bras sous ma poitrine, plus soucieuse que mécontente.

<< Vous savez, dormir n'est pas juste un luxe, c'est une étape nécessaire pour l'organisme. Avez-vous de quelconques problèmes d'insomnie ? >>

Quant à la réponse concernant son état général, je préfère l'ignorer. Il est évident qu'elle ne se porte pas bien. Affirmer le contraire c'est chercher à fuir, pas à se préserver.
Plus je prête attention à ses réponses, plus la réponse me parait évidente. Ce n'est pas juste du surmenage, c'est de l'auto-négligence. Mademoiselle Adéaaïk ne prête aucune attention aux besoins de son enveloppe charnelle qu'elle semble considérer comme des pertes de temps ou des actions inutiles.
Elle est mon premier cas dans le genre. Mais je ne suis pas impressionnée ni même intimidée par les regards qu'elle peut m'adresser. Je ne prend pas ça de manière personnelle. Je pense sincèrement qu'il s'agit d'une réaction plus défensive que foncièrement méchante. Et, de toute façon, si elle imagine qu'elle va me décourager de la sorte, alors elle réalisera rapidement qu'elle s'est amèrement trompée.
Je sais ce qu'il me reste à faire.
Je croise les jambes et remet une mèche de cheveux derrière mon oreille.

<<  Bon, je vais être directe. Je vais vous garder en repos forcé aujourd'hui et demain. Je crois savoir que vous travaillez pour la police ? Je les informerai moi-même de ma décision, vous n'avez pas de crainte à avoir de ce côté-là. Et si vous essayez de retourner travailler en douce, je vous tirerai moi-même dans votre lit, et par les oreilles s'il le faut. >> dis-je les sourcils légèrement froncés, sévère.

J'avoue ne pas être très diplomate, mais de ce que j'ai pu en lire dans son dossier, elle a refusé, voir évité tous les traitements donnés par mes prédécesseurs. Je dois donc me montrer convaincante et la contraindre par tous les moyens, à se reposer.
Sur mon visage, se dessine un sourire.

<<  Maintenant, vous avez le choix. Préférez-vous ingurgiter de la nourriture et de l'eau de manière normale ou la perfusion vous semble-t-elle plus adaptée à vos besoins ? Sachez que j'ai des sédatifs à disposition et que je n'hésiterai pas à les utiliser si vous refusez de dormir. Puisque vous avez ignoré les traitements conventionnels jusqu'à présent, je me vois contrainte de vous les imposer, bien malgré moi sachez-le. >>

Une fois nourrie, hydratée et reposée correctement, je suis certaine qu'elle sera plus encline à m'écouter.

<<  Peut-être souhaitez-vous être raccompagnée chez vous, pour y passer votre convalescence ? Avez-vous de la famille ? Ou des proches qui pourraient s'occuper de vous ? >> demandais-je plus doucement.

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Re: « Je volerai de mes ailes aiguisées. Je toucherai le ciel de mes doigts ensanglantés. Je prendrai ton cœur de mille manière qui soit. » ♛ Pv. Aëllya Müller ♥
Mer 3 Mai - 18:03

「 Je volerai de mes ailes aiguisées. Je toucherai le ciel de mes doigts ensanglantés. Je prendrai ton cœur de mille manière qui soit. 」

Mamã & Aëllya
La brune souffla intérieurement, excédée par ces questions qu'elle entendait sans cesse. Des insomnies... Oui, elle l'était. Mais pouvait-elle seulement le reconnaître ? Bien sûr que non. Il en allait pour sa fierté; Mamã refusait de parler de ses cauchemars. Pour qu'on la prenne pour une enfant ? Non merci. Certes, ce genre de chose ne touchait pas que les mioches, mais la policière ne souhaitait réellement pas que ses terreurs nocturnes atteignent les oreilles de ses supérieurs. Sûrement qu'on ne la prendrait plus au sérieux. C'était même sûr, pour elle tout du moins.

« Non. », répondit-elle simplement.

Quand, finalement, la médecin imposa deux jours de repos à Mamã, celle-ci se mordit avec force la lèvre. Elle ne pouvait aller contre ses ordres, au vu de son incapacité à assembler une phrase correctement ou bien même, tout simplement, car elle ne pouvait juste pas bouger. Seulement,
la policière ne pouvait s'empêcher de se demander comment ses collègues et supérieurs réagiraient-ils... Allaient-ils être déçu ? Déçu que la femme policière, connue pour sa force physique et mentale, se soit fait avoir par juste quelques heures de sommeil en moins ? Et un manque cruciale d'eau et de nourriture, il semblerait, pensa t-elle, ne sentant même plus ses lèvres tant elles lui semblaient sèches. Fatiguée, la dresseuse ne chercha même pas à lutter contre la médecin et hocha lentement la tête. Et alors qu'elle s'apprêtait à approuver les dires de la femme, la brune se crispa soudainement, à sa question.

De la famille, eh ? Elle n'avait plus de famille. Et ni Joe, ni Angeliqua, ni Henry n'était libre, aujourd'hui. Et malgré le ton doucereux de la médecin, la policière se crispa, sa voix devenant bien plus froide et cassante, alors que sa gorge la suppliait de ne prendre qu'une gorgée d'eau.

« Je n'ai personne. »

Après un ultime effort, la brune arriva à se redresser sur son lit. Elle forçait sur ses membres, quand bien même ceux-ci lui semblaient prêt à flancher à n'importe quel moment. Fière et heureuse, intérieurement, elle rejeta la couverture qui la recouvrait sur le côté et se tourna, laissant ainsi ses jambes se balancer dans le vide.

« Je peux rentrer toute seule, de toute façon. », elle regarda la médecin, du coin de l’œil, sa vue commençant enfin à redevenir normale. « Maintenant que vous le vouliez ou non, je rentre chez moi. J'ai des choses bien plus importantes à faire et à finir; mon corps attendra. »

Et alors que Mamã s'apprêtait à se lever, elle fronça soudainement les sourcils. Pharaon, Anat.. Où était donc ses pokemons ?! Le regard paniqué, regardant autour d'elle, espérant voir ses pokeballs, la policière se tourna alors vers la médecin, tentant de garder son visage le plus neutre possible.

« Où sont mes pokemons ? », demanda t-elle d'une voix qui trahissait clairement son inquiétude.
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Re: « Je volerai de mes ailes aiguisées. Je toucherai le ciel de mes doigts ensanglantés. Je prendrai ton cœur de mille manière qui soit. » ♛ Pv. Aëllya Müller ♥
Lun 8 Mai - 0:36
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Aëllya devient le nouveau médecin attitré d'une jeune femme connue pour être particulièrement auto-destructrice et tête brûlée. C'est son premier contact avec celle-ci, comment va-t-elle réagir ?

Docteur à domicile.

Depuis le début, Mademoiselle Adéaaïk ne se montre pas particulièrement aimable, c'est vrai. Mais le ton qu'elle emploie quand je lui demande si elle a de la famille qui pourrait prendre soin d'elle me choque. Elle m'avait habituée à une certaine fermeté, une sévérité dans le choix de ses termes et de sa manière de me répondre. Mais cette fois-ci, elle est sèche, cassante. Je la regarde se lever, sans trop savoir comment le prendre. Dois-je moi aussi, me montrer plus "violente" dans ma manière de fonctionner à son égard ?
J'en doute. L'agressivité ne rend pas les gens plus dociles, bien au contraire. De plus, si je veux qu'elle m'écoute, je dois lui inspirer du respect, pas de la peur ou de l'indifférence. Mes prédécesseurs ont tous essayé quelque chose de différent et, jusqu'à présent, rien de toute ceci n'a fonctionné.

Aussi bête que cela paraisse, moi je suis sûre qu'un peu de tendresse, permet de désamorcer la plupart des crises.
Je la regarde s'assoir sur le bord du lit, prête à partir. Hors de question que je la laisse rentrer seule, encore moins dans cet état. De plus, je suis quasiment certaine qu'elle me promettra de prendre son traitement mais qu'elle ne le fera pas, comme la moitié des patients qui consultent un médecin.
Des antibiotiques prescrits sur sept jours ne sont pas à prendre pendant six ou huit, c'est sept, pas un de plus ou de moins.
J'ai dis qu'elle se reposerait pendant au moins deux jours, et que cela lui plaise ou non, je veillerai personnellement à ce que ça se passe comme ce doit être.
Je m'occupe des urgences, et Mademoiselle Adéaaïk est un danger pour sa propre personne. Elle est numéro 1 sur ma liste de priorités.

<< Il n'était pas dans mon intention de vous empêcher de rentrer chez vous Mademoiselle. >> Je marque une pause, en espérant qu'elle n’accueillera pas la nouvelle de manière trop... violente ? << En revanche, je ne vous laisserai pas seule. Vous n'êtes pas capable de vous débrouiller dans cet état. Je préfère vous accompagner et vous aider à vous installer. Dans le pire des cas, j'ai une chambre libre chez moi. Vous m'y serez plus facile à surveiller et je pourrai continuer mon travail. >> Je réfléchis un court instant, avant de conclure : << Je pense qu'il vaudrait mieux que l'on passe chez vous, si vous avez des affaires à récupérer, avant de nous rendre chez moi. Je pense que ce sera plus simple. Mais je vous laisse le choix. Évidemment, vos pokémons sont les bienvenus. >>

Ah oui, ses pokémons, avec toute cette histoire j'ai failli oublier de répondre à sa question.
Je me rapproche d'elle et arrange une mèche de cheveux tombée sur son front en la glissant derrière son oreille.

<< Ils sont en sécurité, au centre pokémon du poste. Je ne suis pas habilitée à soigner les pokémons, ils sont avec des collègues. Ils vont très bien, je peux vous l'assurer. >>

Je souris. Malgré ses traits fatigués, je la trouve plutôt jolie.
Je cligne des paupières et me lève. Je lui tend mon bras, pour qu'elle puisse s'y appuyer si elle en ressent le besoin.

<< Allons chercher vos compagnons voulez-vous ? Pensez-vous pouvoir marcher jusqu'à ma voiture ou préférez-vous un fauteuil roulant ? Ah, appelez-moi Aëllya, ce sera moins formel ainsi ! >>

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Re: « Je volerai de mes ailes aiguisées. Je toucherai le ciel de mes doigts ensanglantés. Je prendrai ton cœur de mille manière qui soit. » ♛ Pv. Aëllya Müller ♥
Dim 14 Mai - 2:40

「 Je volerai de mes ailes aiguisées. Je toucherai le ciel de mes doigts ensanglantés. Je prendrai ton cœur de mille manière qui soit. 」

Mamã & Aëllya
La policière ne savait pas réellement quelle réation adopter face à la nouvelle. Elle et moi sous le même toit...? Oh dieu. Je sens que je ne vais pas aimer ça, soupira t-elle intérieurement. Elle qui avait déjà du mal à supporter la présence d'autres personnes dans une même pièce, alors dans une maison ? Pendant deux jours ? Avec une femme qui plus est ? Un soupir s'échappa de ses lèvres alors qu'elle cherchait un moyen d'éviter de séjourner pendant quelques temps chez une inconnue. Cependant, quand au bout de plusieurs minutes, elle ne trouva rien à redire, Mama fut forcée d'accepter l'offre de la jolie blonde; de toute manière celle-ci ne semblait pas lui laisser de choix. Posant son coude sur son genoux et son front sur sa main, la dresseuse s'impatienta, attendant la réponse du médecin au sujet de ses pokemons. N'y ayant pas répondu directement, elle commençait à avoir peur pour eux. Leur était-il arrivé quelque chose quand elle s'était évanouie ? Peut-être que ses pokemons s'étaient fait enlever ? Se mordant la lèvre inférieure, assez fort pour y laisser une marque, elle ne put retenir un soupir de soulagement quand la femme lui répondit-enfin. Ses pokemons étaient tout pour elle, vraiment. Alors ne pas savoir ce qui avait pu leur arrivé l'a mettait dans un tel état... Elle se comportait comme une mère avec ses enfants.    

Cependant, quand la blonde lui avait répondu, celle-ci s'était approchée -trop près-, de la brune. Dans d'autres circonstances, la médecin aurait pu finir à terre, maîtrisé par Mama. Elle haïssait qu'on la touche, surtout ainsi et qu'elle soit une médecin ou non, elle n'échappait pas à "la règle". Heureusement pour la dénommée Aëllya, la policière semblait avoir perdu tout ses réflexes et fut ainsi forcée à se laisser faire, les joues rosées et l'air dépitée.

« Ne vous en faites pas, Aëllya, je peux marcher. Dépêchons-nous seulement d'aller chercher mes pokemons. »

Attrapant le bras de la médecin, la policière se redressa. Cependant, y étant aller trop brusquement, ses jambes flanchèrent rapidement sous son poids. Ne s'attendant pas à cela, Mama fut forcée de se rattraper à la médecin. Ne souhaitant néanmoins pas la faire tomber -sous son poids assez conséquent, sûrement que la jolie blonde aurait eu mal. Elle arriva à retrouver à son équilibre, ayant eu seulement besoin d'un point d'appui. Horriblement gênée, la brune redressa légèrement son visage et fixa Aëllya, avant de détourner légèrement le regard.

« Hm... Excusez-moi. Je ne pensais pas que je... Enfin... », elle passa une main nerveuse dans ses cheveux. « Excusez-moi. », marmonna t-elle doucement, les joues légèrement rougies.
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Re: « Je volerai de mes ailes aiguisées. Je toucherai le ciel de mes doigts ensanglantés. Je prendrai ton cœur de mille manière qui soit. » ♛ Pv. Aëllya Müller ♥
Dim 28 Mai - 2:42
ft. Aëllya & Mama
Aëllya devient le nouveau médecin attitré d'une jeune femme connue pour être particulièrement auto-destructrice et tête brûlée. C'est son premier contact avec celle-ci, comment va-t-elle réagir ?

Cohabitation expérimentale

L'attitude agressive de mademoiselle Adéaaïk résultait plus de l'instinct de survie d'un animal blessé que d'un véritable désir de méchanceté. Elle aurait pu se montrer beaucoup plus blessante ou même violente à mon égard, et ce, à de nombreuses reprises. Peut-être que je me trompe, mas c'est l'avis que je m'en suis fait jusque là. Je suppose que son comportement un peu provocateur et très "rentre-dedans" s'explique par un travail où la majorité est masculine. Il faut reconnaitre que, malgré son état de santé déplorable, je ne peux nier l'assurance et la combattivité qui se dégagent de ma patiente. Je ne doute pas un seul instant qu'elle sera de nouveau sur pied en un rien de temps. C'est même le contraire qui se présenterait comme une situation tout à fait inédite.
D'ailleurs, la précipitation de mademoiselle Adéaaïk manque de nous faire chuter toutes les deux. Heureusement pour moi, elle a veillé à ne pas m'entrainer dans sa recherche d'équilibre, tout en étant capable de rétablir ce dernier, en évitant le pire.

En entendant ses excuses, je ne peux m'empêcher de poser ma main sur la sienne, en un geste compatissant. Le contraste de peaux de couleurs différentes attire mon regard un court instant.

<< Allons, allons. Ce n'est rien. Vous n'êtes pas blessée ? C'est l'essentiel. Venez, allons chercher vos pokémons. >>

Ainsi, je l'entraine à allure modérée vers l'espace réservé aux soins des pokémons, situé non loin de l'infirmerie. Je salue d'un signe de têtes quelques collègues dans le couloir, avant de bifurquer, mademoiselle Adéaaïk à mes côtés, vers le centre pokémon. L'endroit ressemble à s'y méprendre à une infirmerie banale, avec quelques ustensiles spécifiques en supplément. Notamment des couveuses où sont installées diverses pokéballs. Immédiatement, une femme aux cheveux roses, accompagnée de son assistant Leveinard, nous accueille.

<< Que puis-je pour vous ? >>
<< Je suis le Docteur Müller. Nous souhaiterions récupérer les pokémons de mademoiselle Mama Adéaaïk déposés ce matin même. S'il vous plaît. >>
<< Très bien, suivez-moi je vous prie. Pinky, va les chercher je te prie. >>
<< Leveinard ! >>

Nous emboîtons le pas de l'infirmière et je laisse à ma patiente, le soin de remplir les divers formulaires de retrait. Puis, ses pokéballs lui sont rendues.

<< Vos pokémons sont en super forme ! A bientôt. >>

Ceci fait, il ne nous restait plus qu'à descendre sur le parking et monter en voiture, ce que nous fîmes, sans nous presser.

Toutes deux installées dans ma petite citadine, moi au volant, je demande, en regardant la route :

<< Puisque nous allons passer quelques jours ensembles, puis-je vous appeller par votre prénom ? Ce sera moins formel et plus agréable je pense. Et puis, tant que je suis dans les questions farfelues, avez-vous un ou une compagne ? >>

Pour moi, la réponse ne peut pas être négative. Mama était trop belle pour être libre ! Et puis, pourquoi est-ce que ça m'intéresserait ?
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Re: « Je volerai de mes ailes aiguisées. Je toucherai le ciel de mes doigts ensanglantés. Je prendrai ton cœur de mille manière qui soit. » ♛ Pv. Aëllya Müller ♥
Ven 13 Oct - 19:28
RP abandonné, raison :

-> Les deux personnages ont été supprimés.
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Re: « Je volerai de mes ailes aiguisées. Je toucherai le ciel de mes doigts ensanglantés. Je prendrai ton cœur de mille manière qui soit. » ♛ Pv. Aëllya Müller ♥
« Je volerai de mes ailes aiguisées. Je toucherai le ciel de mes doigts ensanglantés. Je prendrai ton cœur de mille manière qui soit. » ♛ Pv. Aëllya Müller ♥
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