RoukyMessages : 3 Date d'inscription : 01/04/2018
| Rouky, un loup pas si sauvage que ça | Dim 1 Avr - 14:05 | | Citation en une ligne | SURNOM ▬ Rouky NATIONALITÉ ▬ Kanto ÂGE ▬ 24 ans SEXE ▬ Mâle~ TAILLE & MASSE ▬ Sportif et puissant, agile TALENT ▬ Griffe dure AUTRE ▬ Porte un solide collier en cuir de la plus haute qualité. Y est fixé une magnifique plaque en argent à l'ornementation compliquée. En son centre, en lettres d'émeraudes, y est inscrit son nom. Sur ce même collier sont solidement fixés cinq petits symboles, médailles militaires de Kanto ainsi qu'un minuscule mouton en or, preuve de sa victoire au championnat de chien de berger de la région Johto. GROUPE ▬ Pokémon. RANG ▬ Revenu à l'état sauvage, à vécu avec un militaire haut gradé durant plusieurs années. NIVEAU ▬ 42
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Je pense donc je suis Le caractère de Rouky est comparable à celui d'un jeune chien... Mais aussi à celui d'un vieux loup empli de sagesse. Certains le compare à une rivière : Il est parfois si calme et si profond que même une mouche n'oserai pas se poser à la surface de peur de le déranger. D'autres fois, les rapides s'emparent de lui ! Dangereux, joueur, plein d’énergie et de force. Indomptable et libre. Beau mais dangereux. Joueur mais sérieux.
Rouky aime jouer. Il aime galoper dans les champs à en perdre son souffle. Il adore rapporter les bâtons et autres projectiles que les humains lui lancent parfois, il est d'ailleurs complètement fou des balles ! Jouer à la bagarre avec toute une tribus de Rocabot est pour lui le comble du plaisir ! C'est un coureur de jupon n'hésitant pas à faire le pitre devant tout le monde pour flirter avec une jolie canidé... Que ce soit pour un simple calin ou pour beaucoup plus, Rouky aime qu'on s'occupe de lui, qu'on le dorlote, qu'on le chouchoute. Une petite grattouille bien placée peu vous faire gagner son amitié dans l'instant. Séduisant, il sait parfaitement comment obtenir un moment de douceur et abuse sans aucune gène de ces petits instants volés au cœur de la fourrure d'une jolie fille... Il faut ajouter ici que durant les dernières années de sa carrière de chien militaire et suite à sa victoire au championnat des chiens de berger de Johto, les gènes de Rouky furent régulièrement demandés par les éleveurs. Ainsi, le jeune lougaroc est père d'un nombre respectable de chiots au sein des régions Kohto et Johto. Il n'en a connu que deux (un Rocabot et une caninos) et s'est montré doux et affectueux dans son rôle de père. Bien qu'il prenne la "fabrication de bébés" très au sérieux, Rouky est passé maître dans cet art et sait parfaitement repérer quand le moule est opérationnel ou au repos.
Rouky est un chef de meute, un Alpha. Il est libre et indomptable, n'accepte d'ordre de personne (ou presque) surtout depuis la mort de sa maîtresse et se fixe lui même des frontières. Il sait arrêter de jouer quand il le faut et devenir sérieux. Il gère les conflits d'une patte ferme, n'hésitant pas à distribuer les coups de crocs s'il le faut. Juste et gentil mais ferme et autoritaire. Son entraînement militaire a fait de lui un combattant expérimenté et redoutable et lui a apprit à conserver un certain contrôle de ses émotions. C'est à l'armée qu'il a apprit à nager et à combattre sa peur de l'eau mais il est toujours terrifié par les abysses et panique s'il est sur un bateau en pleine tempête. Il ne supporte pas non plus le vide.
Rouky possède une grande expérience de l'art de la chasse, que ce soit en solitaire ou en meute. Mais bien qu'il soit un prédateur redoutable, il rechigne à tuer sans raison et respecte la vie qu'il juge sacré. Il n'aura aucune pitié à tuer un ratata pour manger. Ce loup est un grand gourmand. Un morceau de gâteau et hop ! La cuisinière s'est fait un copain. Son pêché de gourmandise l’amène souvent à faire le pitre pour obtenir un gâteau, Rouky n'hésitera pas à quémander aux tables de pique-nique...
Du loyauté sans faille, il reste encore aujourd'hui au service de sa défunte maîtresse. Les pires craintes de ce loup de canapé sont l'abandon et une cage. Sa pire souffrance est la solitude, il ne la supporte pas très longtemps ! Mais les événements de ses dernières années l'ont rendu craintif envers les humains. Il porte en lui un puissant chagrin et une haine immense envers la team Pendulum, responsable de la mort de sa maitresse. Mais il se sens attiré par les humains et son rêve le plus cher est de retrouver une place sur un tapis, au coin du feu et de posséder à nouveau un panier et une gamelle bien à lui. Ma représentation physique Rouky est un Lougaroc crépusculaire. Ce jeune loup a une silhouette sportive. Puissant et costaud mais sans aucune lourdeur, il est aussi musclé qu'agile. Grâce à son passé de militaire et de chien de berger, ce jeune mâle est en pleine santé. Ses pattes puissantes et les caractéristiques du lougaroc en font également un pokémon aussi rapide qu'endurant. Mesure 55cm au garrot pour un poids avoisinant les 28Kg, il est d'une taille respectable pour un mâle de son âge. Indubitablement mâle, ce loup a néanmoins une expression douce et joyeuse bien que dans son regard brille la lueur sauvage du prédateur et du chef de meute. Sa fourrure est d'une belle couleur orange et blanche. L'épais panache de fourrure couleur de neige recouvrant son encolure n'est pas suffisant pour recouvrir les quatre rocs se dressant fièrement sur son cou. Son poil est doux mais épais. Sa queue est un panache de fourrure blanche. Sage et prudent sera celui qui fera attention aux griffes dangereusement acérées de ce loup !
Sur sa tête se dresse fièrement deux oreilles très expressives en dessous desquelles brillent deux magnifiques yeux verts. Véritables livres ouvert, ses deux billes couleurs de l'émeraude sont un outil de communication redoutablement efficace. Comme tout loup qui se respecte, Rouky utilise son corps entier pour communiquer. Comment j'en suis arrivé là... - Capitolo Primo:
Nuage. Quel endroit merveilleusement doux, chaud et calme. Il est normal qu'un nouveau né pousse des cris de protestation à la naissance, quelle cruauté que de devoir quitter ce nuage. Je me sentais bercé, je ne ressentais aucune fatigue, comme j'étais bien. Je savais que ma mère veillait sur moi m'enveloppant d'un amour comme seule une maman sait le faire. Je n'étais pas encore né mais j'étais déjà aimé...
Je suis né en plein cœur du Mont Sélénite de la région Kanto au sein d'un élevage de pokémon s'étendant sur plusieurs hectares ou les occupants sont tous libre d'évoluer en liberté sous la surveillance des humains. Pourtant ma naissance fut une surprise pour ces derniers : ma mère, très sauvage, s'est cachée dès qu'elle et mon père ont prit la décision de m'avoir. J'ai vu le jour au fond d'un terrier habilement caché par ma maman. J'ai vécu mes premiers mois avec mes parents apprenant à communiquer et me comporter comme un vrai Rocabot sauvage, difficile pour les humains de m'approcher : maman ne voulait pas et gare à moi si je me laissais approcher. Elle disait que la plupart du temps les humains attrapaient les bébés pokémon pour les emmener et les faire disparaître. Du coup évidement j'avais peur des humains bien qu'ils soient d'évidence tous très gentil. J'étais un bébé heureux : vivant bercé par l'amour de mes parents, jouant avec mes quelques copains et participants à la vie sociale du haut de mon rôle extrêmement élevé de bébé !
Et puis un jour tout bascula. Ce jour là je jouais avec un nouvel ami : un caninos qui était arrivé le matin. Nous étions de suite devenu très copains et voilà plusieurs heures que nous galopions un peu partout jouant à nous poursuivre, à lutter ou chasser les papilusions. Ce que je ne savais pas à ce moment là, c'est qu'il appartenait à un humain qui m'observait. Alors que nous étions très embarqué dans la folie de notre jeu, je ne remarquai pas que nous nous étions approché de la zone interdite : la maison des humains ! Lorsque j'aperçu enfin mon erreur, les humains étaient déjà sur moi, j'étais encerclé. Persuadé qu'ils allaient me faire disparaître s'ils m'attrapaient, je défendis chèrement ma peau et de nombreux cris de douleurs furent poussés avant qu'une poudre dodo me soit lancée à la truffe : ils m'avaient attrapés...
- Capitolo Secondo:
Séparation. Il arrive un temps dans la vie de tous les enfants ou un événement ou l'âge sépare des parents. Souvent, cela se produit trop tôt, parfois le petit s'attarde, toujours c'est un traumatisme. Pourtant pour grandir, cela doit se produire.
J'ai cru m'être réveillé dans la fourrure de ma maman mais ce n'était qu'un gros coussins. En face de moi se tenait une jeune femme, tout juste adulte. Elle me regardait en souriant l'air émerveillée mais moi aussitôt je paniquai : elle allait m'emmener et me faire disparaître ! Elle semblait s'y attendre car elle ne montra pas de surprise et il n'y avait aucune issue. Nous avons passé de nombreuses heures dans cette pièce elle et moi, elle essayait de me rassurer et j'appris qu'elle s'appelait Hélène. Mais moi j'avais peur et je pleurais, je voulais ma maman. De temps en temps elle s'absentait, jamais très longtemps mais chaque fois elle me laissait seul. C'était encore pire pour moi d'être seul. Oh que j'étais malheureux. Rapidement, je commençai à être soulagé de la voir revenir surtout avec cette gamelle de nourriture que j'avais tout d'abord refusé. Je n'étais qu'un bébé, j'avais besoin d'un repère et elle le devint. Dix jours après ma capture, elle me prit dans ses bras et me fit découvrir sa maison, me présentai à ses parents et me déposai dans son jardin pour me faire visiter la ferme ou elle habitait. Je ne savais pas ou j'étais, les odeurs étaient très différentes. Alors je ne cherchai pas à m'enfuir et restait avec Hélène qui était devenu mon repère, le centre de ma vie.
Déjà à cet âge je n'hésitais pas à chasser les ratatas ou les roucool. Sa mère poussait régulièrement des cris de dégoût lorsqu'elle me découvrait en train dévorer un rongeur dans mon panier.
Quelques semaines plus tard elle m'emmena avec elle à son école. Hélène s'était engagée dans l'armée et m'avait choisi comme compagnon. Les humains me firent passer des tests physiques et cognitif que je réussi haut la patte grâce à ce que mes parents m'ont appris. Bientôt, Hélène et moi passions la matinée dans une salle à écouter un humain parler (enfin moi plutôt à dormir ou me plaindre que je voulais sortir) et l'après midi à nous entraîner. On m'apprit le combat contre d'autres pokémon, à utiliser mes capacités. Je finissais souvent à l’infirmerie au début mais peu à peu je progressais. On m'apprit même à combattre à humain armé d'un couteau, d'un pistolet tirant des billes qui éclate douloureusement en taches colorées sur le pelage ou mains nues. Je devais faire les parcours sportifs en même temps que ma maitresse, toujours diabolique les professeurs nous en demandaient toujours plus, je devais aussi courir en cercle autours d'un terrain avec elle, toujours plus longtemps. Ce fut difficile, vraiment difficile mais j'étais motivé à faire plaisir à mon Hélène qui donnait tout ce qu'elle avait. J'appris à reconnaître l'odeur des explosifs, à la rechercher et l'indiquer silencieusement à ma maitresse, j'appris à traquer et pister une odeur sur parfois une dizaine de kilomètre, j'appris à neutraliser et mordre un humain, j'appris à résoudre des énigmes toujours plus complexes, j'appris à devenir un binôme parfait avec mon Hélène. Peu à peu je devenais un pokémon militaire.
En parallèle, le soir mais surtout les jours ou nous n'allions pas à l'école, Hélène et moi travaillions à la ferme des ses parents. Aux côtés du caninos qui m'avait plus ou moins piégé, je découvris le métier de chien de troupeau et devint rapidement excellent. J'adorais ce travail, j'adorais mon Hélène, j'adorais ma nouvelle vie.
- Capitolo tre:
Grandir c'est découvrir la vie. C'est être jeune et vivre des aventures.
C'est par une après midi d'été qu'Hélène et moi avons été diplômés de l'école. Elle fut nommée Major et déployée à Safrania. Nos missions consistaient à patrouiller dans les rues de la ville, souvent à la gare. Il fut difficile pour moi de m'habituer à la foule et à la grande ville mais j'étais un pokémon Militaire maintenant ! C'était mon travail, mon devoir ! Un jour, quelques mois après notre affectation, nous étions au milieu d'une balade dans un centre commercial de Safrania en dehors de nos heures de service lorsqu'une odeur me titilla la truffe. Désobéissant, je m'éloignai et me mis à grogner contre un homme. Interpellé par ma maitresse, il dévoila une arme de sous son manteau et la pointa sur elle. Réagissant à son cri d'attaque, je lui sautais dessus de toute la puissance de mes petites pattes ce qui le déstabilisa et permit sa neutralisation sans aucun blessé. Il affirma qu'il avait placé des explosifs dans le bâtiment et c'est grâce à ma réactivité et mon flair qu'il fut détecté et désamorcé à temps. Trois jours plus tard, sous l'oeil fier d'Hélène, je reçus la première médaille de ma carrière.
Les missions s’enchaînaient, Hélène fut nommée Lieutenant. Nous avons alors commencé à voyager un peu partout dans le monde. J'avais l'obligation de faire trois match pokémon par semaine au minimum et chaque jour nous devions nous entraîner, même les jours de patrouilles. Il arrivait souvent que pendant nos missions je sois contraint d'affronter d'autres pokémon ou envoyé pour neutraliser un humain dangereux. Un jour il y eut un tremblement de terre dans un pays éloigné. Hélène et moi avons été envoyé sur place. Nous avons utilisé mon flair pour retrouver des victimes enseveli sous les décombres. Hélène et moi avons donné toute notre énergie durant plusieurs à tel point que notre supérieur devait nous ordonner le repos. Le Général affirma plusieurs semaines plus tard que je fus exceptionnel et ainsi je reçus la deuxième médaille de ma carrière.
Lors de ma cinquième année de vie, Hélène et moi furent déployée sur un terrain de guerre. Promue au grade de capitaine, ma maitresse avait quelques hommes à ses ordres. Chacun avait son compagnon pokémon et était déployé pour plusieurs mois dans le camp. J'étais irritable depuis plusieurs semaines, j'avais très envie de m'éloigner des humains, période normale dans la vie d'un rocabot mais notre mission m'en empêchait ce qui n'arrangeait rien. Il ne se passait pas trois jours sans qu'Hélène utilise son arme à feu, sans que je sois lancé au combat contre d'autres pokémon ou humain. Ce n'étais plus de petits combats destiné à neutraliser l'autre ici : c'était des combats à mort. La défaite signifiait la perte de la vie. Un soir, au couché du soleil, Hélène et ses hommes patrouillaient dans un petit village lorsque nous fûmes prit dans une embuscade ! Ma maitresse perdit plusieurs de ses hommes, les autres furent désarmés, les pokémon neutralisé. Nous fûmes tous frappés, torturés. Moi beaucoup plus que les autres car voir souffrir mon Hélène m'était insupportable. Elle était courageuse mon Hélène et ne pleurait pas, ne se plaignait pas lorsqu'elle recevait des coups. Pourtant, lorsqu'ils se mirent à 4 sur elle pour lui enlever ses vêtements, elle se débattit en poussant des hurlements déchirants, voir la peur, la terreur dans ses yeux... Une immense colère, une rage comme je ne peu la décrire s'empara de moi. Soudain j'eus plus de force, soudain je fus plus rapide, soudain mon pouvoir de type roche fut plus fort. Impitoyablement, je tuai les 4 humains et plusieurs autres et mit en fuite les derniers. Hélène me sauta au cou et je fus célébré le soir dans le camp. Je n'étais plus un minuscule Rocabot. J'étais désormais un magnifique Lougaroc crépusculaire et j'obtins ma troisième médaille. - Capitolo Quatro:
Durant les quelques années suivantes, Hélène fut nommée Commandant. Nous fûmes déployé sur différentes zones de conflits et avons participés à de nombreuses missions humanitaires. Je reçu ma quatrième médaille lors de ma douzième année. Un groupe de hauts diplomates de Kanto étaient retenus en otage par un groupe de bandits dans un pays étranger. Après étude de la situation, Hélène et moi nous sommes approchés seul en mission de reconnaissance furtive pendant que ses hommes négociaient avec les bandits. Soudain l'un des bandits se mit en colère, faisant sursauter les autres et leva son arme sur l'un des diplomates. Ce fut le signal que j'attendais : je m'élançais au milieu de la mêlée et provoqua un véritable petit chaos avec mon attaque éboulement surprise. Hélène fit feu bientôt rejoint par ses hommes. Je tuai deux bandits avant qu'une douleur fulgurante me transperce le flanc. La souffrance fut si forte qu'une étrange brume s'empara de tout mon corps, je m'écroulais. Avant que l'obscurité s'empare de moi, j'eus le temps de voir mon Hélène se précipiter sur moi en pleurant au milieu des coups de feu et du chaos du combat. Elle me supplia de me battre, elle me supplia de rester avec elle.
Lorsque j'ouvris les yeux, le monde était flou. J'étais allongé dans une pièce lumineuse. J'étais faible et j'avais mal. J'ai souffert de très nombreuses blessures au cours de ma vie : pattes foulées, même cassée un fois, coupure, choc sur la tête... Mais je venais de subir ma première véritable blessure de guerre. J'étais faible et mon corps n'était que douleurs. Je ne fus que capable de déposer des coups de langue affectueux sur la joue de mon Hélène qui pleurait de soulagement dans ma fourrure. Le médecin m'ordonna deux longs mois de repos puis quatre autres d’entraînements avant de reprendre du service. Durant ma convalescence je fis la connaissance d'une superbe feunard qui appartenait à l'équipe de soins. J'en tombai amoureux au premier regard et lors de mon cinquième mois de convalescence je fis la connaissance de mon premier fils, un rocabot tout aussi turbulent que son père. Je passai un mois complet avec lui avant d'être déployé de nouveau à Azuria. Hélène fut promue Lieutenant Colonel , chef d'une caserne militaire et durant quelques années notre vie fut rythmée par les missions de patrouilles et quelques petites crises. Pour ma part, on me présentai de temps à autres des filles. Désormais coureur de jupons, je devins rapidement un champion dans l'art de la fabrication de bébés car toutes celles qu'on me pressentait étaient dans une période propice à cela. Le fait que les humains nous encourage ne faisant qu'augmenter ma joie d'en faire car j'étais bien évidement toujours d'accord, ceux qui me connaisse savent que je suis toujours prêt à rendre service.
C'est durant cette période de calme qu'Hélène commença à me faire participer à des championnat de chien de troupeau. Les épreuves étaient multiples et consistaient à rassembler un petit troupeau dans un parc d'apparence trop petit, à séparer trois ou quatre wattouat ou tauros bien particulier au sein d'un grand nombre d'individus... Le tout en un temps minimum et sans commettre de fautes. Hélène et son père me firent passer par un entraînement intensif avant de commencer les concours. J'en ai remporté beaucoup, les coupes commençaient à s'accumuler à la ferme. Puis un jour, il fut décidé de m'inscrire au championnat de Johto, l'un des plus prestigieux au monde, celui ou les meilleurs pokémon berger participaient. La compétition fut extrêmement tendue mais j'en sorti vainqueur haut la patte à la surprise générale ! Oh comme je fus fier, comme je fus heureux de recevoir les larmes de joies de mon Hélène et ce nouveau trophée sur mon collier.
Dès le lendemain de ma victoire au championnat de Johto, les demandes d'éleveurs pour mes gènes explosèrent. Mais Hélène triait les candidates sévèrement. Elle se fit beaucoup d'argent grâce à mes saillies que j'étais toujours très heureux de faire. - Capitolo Cinque:
Deuil. Quelle terrible douleur, quelle terrible bouleversement. Au plus profond du deuil, la vie semble ne plus avoir de sens. Au plus profond du deuil, la vie n'est que pleurs.
Lors de ma dix-huitième année, Hélène fut nommée Colonnel et déployée dans la région d'Oniria, une région en conflit. Les combats à mort devinrent de nouveau fréquent car Hélène allait elle même en mission aux cotés de ses hommes. Je pratiquai toujours régulièrement des saillies et j'étais très respecté au QG ou je faisais des ravages auprès des filles.
C’est lors de ma vingtième année que le plus grand malheur de ma vie se produisit. Le QG fut prit d'assaut par une dizaine de membre de la Team Pendulum. Attaqué par surprise, de nombreux hommes et pokémon périrent et une vingtaine furent prit en otage par les bandits qui s'étaient retranchés en sous sol, repoussés par les derniers militaires du QG dont Hélène et moi. Ma maitresse, négociant avec les preneurs d'otages, proposa alors de s'offrir comme otage en échange des tous les hommes. Elle n'obtint la libération que quinze d'entre eux mais n'hésita pas à y aller seule et sans armes en m'ordonnant de ranger mes griffes et mes crocs. Nous avons été assommé aussitôt la première patte posée dans la salle. A mon réveil, j'étais ligoté et sous la surveillance d'un pokémon Psy. Hélène, le visage ensanglantée, était assise sur une chaise. Dès que je bougeai ou protestai je subissais un choc mental et j'étais rué de coups par les humains. Les cris d'Hélène suppliant de me laisser me déchirait les oreilles. Elle fut torturée, frappée. Je fus forcé de la regarder se faire violer trois fois. Puis le nuit arriva et les hommes se calmèrent. Les yeux pleins de larmes, j'en profitai pour retrouver mes forces et doucement, tout doucement je faisais glisser mes liens et lorsqu'au milieu de la nuit l'un d'entre eux vint de nouveau vers ma maitresse qui n'avait plus la force de se battre en baissant son pantalon, je passais soudain à l'action. Le kadabra qui me retenait prisonnier perdit la vie avant de comprendre, l'homme aussi. Je commis un véritable massacre. Les militaires, alertés par la violence et qui pénètrèrent de force dans le sous-sol découvrirent que le sol n'était plus qu'un lac du sang des hommes et pokémon de la Team Pendulum. Mais il y avait aussi mon propre sang et celui de ma maitresse. J'étais allongé prêt d'elle en pleurnichant lamentablement et elle me chuchotait faiblement. Elle me demandait de lui faire la promesse de continuer à vivre, d'être heureux. Je refusai que l'on s'approche d'elle et attaquait avec tant de violence qu'il fallu la puissance combiné d'une poudre dodo et d'une attaque hypnose pour m'endormir.
- Capitolo sei:
Prédateur. Il hait les prédateurs, encore plus lorsqu'il en a un à ses trousses. Il a trouvé ce renfoncement pour se cacher. Il respire trop fort, son cœur fait trop de bruit, son odeur le trahi. Il m'entend utiliser mon flair, il sait que je suis là, pas loin, que je le cherche. Son cœur s'accélère, la peur atteins son apogée. Il a juste le temps de voir sa vie défiler devant ses yeux. Je me rapproche, il arrête de respirer... Je l'ai trouvé.
Malgré les compétences des meilleurs médecins, Hélène perdit la vie au bloc opératoire le jour même. Mais personne ne me l'annonça. Je fus confié à ses parents et on me dit qu'elle était à l'hopital, que les médecins faisaient le maximum, que je devais me reposer. Les parents d'Hélène étaient venus s'occuper de moi. Mais je refusais de quitter ma niche. J'y passais toutes mes journées couché, à regarder l'horizon. Et puis, cinq jours après l'incident je compris. Les parents de mon Hélène me passèrent mon collier soigneusement nettoyé sur lequel brillait une cinquième médaille puis, tout de noir vêtus, ils m'emmenèrent à un cimetière. De très nombreuses personnes s'étaient déplacés. Une grosse boite en bois se trouvait là, en vedette. C'était un enterrement, je le savais. Mais ou était mon Hélène ? Lorsque le prêtre commença à parler, je n'avais toujours pas compris. Mais lorsque la mère de ma maitresse s'approcha du pupitre et se mit à pleurer en parlant d'elle... Je compris. Sous le choc, mes yeux se remplirent de larmes. Je fis plusieurs pas en arrière puis je m'écroulais, le corps secoué de sanglots incontrôlables. Je devins comme fou et lorsque les humains s'approchèrent de moi je brisai ma laisse et m'enfuis.
Je n’arrêtai de galoper que lorsque je fus entouré de montagne. Alors je me mis à pleurer, pleurer et pleurer encore. J'étais anéanti, je n'avais plus de vie, je ne voulais plus voir d'humains et je ne savais plus quoi faire de moi. Sans Hélène, je n'étais plus rien, plus rien. Je fis la connaissance ce jour là d'une Arcanin sauvage qui, attirée par mes sanglots, s'approcha de moi. Trop épuisé pour la chasser, trop choqué et trop seul, je me jetai sur elle, enfoui ma truffe dans sa fourrure et lui pleurai dessus tout mon malheur, toute ma peine. Elle en fut si touchée qu'elle me veilla toute la nuit et passa de nombreux jours prêt de moi à me consoler. Je commençai alors à vivre à l'état sauvage avec elle. Elle me dit qu'elle s'appelait Cartoon et fit de moi son compagnon. Mais moins de deux années après la naissance de notre fille, nous avons été séparé par un feu de forêt et jamais je ne l'aie retrouvée.
- Ultimo Capitolo:
Regrets. Certains pensent que le pire qu'il puisse arriver dans une vie c'est de mourir. Ceux là se trompent cruellement... Le pire qu'il puisse arriver dans une vie, c'est de la passer rongé par le regret.
J'ai vécu deux ans seul, dans les montagnes d'Oniria. Me nourrissant de petits pokémon, parfois plus gros comme des Vivaldaim. Je n'étais ni heureux, ni malheureux. Je vivais comme je l'avais promis à ma précieuse Hélène. La vie était difficile mais mon entraînement militaire et toute une vie de combats me permis de m'en sortir sans trop de problèmes. Je me sentais attiré par les humains et de nombreuses fois je m'approchais des ferme et maison isolé. Plusieurs fois je tombais nez à truffe avec des montagnards et par quatre fois je fus tenté d'aller renifler cette main qui me tendait un morceau de viande. Mais j'avais trop peur des humains... J'étais incapable de chasser de ma mémoire ces horribles événements dans le sous-sol, je faisais régulièrement des cauchemars , revivant les horreurs que j'ai vu en tant que militaire, j'avais trop peur des hommes.
Pourtant un jour je fus bien forcé d'aller me nourrir chez eux. C'était la fin de l'hiver et un ouragan se déchaîna sur l'île. Ma tanière fut inondée et mon autre grotte bouchée par la boue. Je dû affronter l'ouragan sans abri. J'ai passé l'une des pires nuits de toute ma vie. Toute blessure, même infime soit elle peut être synonyme de conséquences gravissimes lorsque l'on est sauvage. Le petit matin me trouva trempé jusqu'aux os et blessé. J'avais eu la hanche transpercée par un morceau de bois, j'avais subi un terrible choc à l'épaule et au dos et je saignais à plusieurs endroits dont une blessure très vilaine à voir sur le flanc. Insuffisant pour m'infliger une blessure grave mais bien assez pour me faire souffrir au point de m'handicaper plusieurs jours et m’empêcher de chasser. Je n'avais que deux choix : mourir ou aller me nourrir chez les humains.
Alors je me suis approché de cet immense complexe humain avec toute la discrétion que je pu. Mourant de faim, blessé, je dénichai des poubelles pleines à ras bord. Je provoquai un certains vacarmes et me dépêchait de manger lorsque je fus surpris par trois jeunes humains et leurs pokémon. Ils n'avaient de toute évidence aucune intention hostile mais j'étais blessé et j'avais toujours peur : j'attaquai. Il leur fut évidement très simple de m’assommer pour me neutraliser. Je fus soigné, lavé et nourris. Je ne fus pas emprisonné mais c'est ainsi que je le vécu au début en sachant très bien que j'avais tord : j'étais enfermé dans une petite pièce possédant un accès à une petite courette. Peu à peu ma crainte des humains s'apaisa et lorsqu'enfin je laissais une jeune fille s'approcher assez pour me caresser et retirer mes bandages, je fus relâché.
Depuis je vis autours de cet institut, chassant de petits pokémon sauvages, fouillant les poubelles et quémandant de la nourriture aux humains. Je vais parfois demander des câlins à ceux qui m'inspirent le plus confiance et chaque fois que je vois un humain et son compagnon pokémon, je ne peu m'empêcher d'être un peu jaloux, d'avoir un pincement de chagrin. Est-ce qu'un jour je trouverai un nouveau compagnon humain ? Personne ne pourra jamais remplacer ma précieuse Hélène mais je fais chaque nuit le rêve de ne plus vivre seul. Oh mon Hélène, comme j'aimerai te revoir, même un seul jour...
Qui je suis vraiment CHEMIN ▬ C'est la fonda qui m'a ramené par la ! CODE VALIDATION ▬ Validé PSEUDO HABITUEL + ÂGE ▬ Djiminy, 25 étés COMMENTAIRES ▬ /
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