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Je ne fais pas de miracles. Enfin... pas à chaque fois !
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Je ne fais pas de miracles. Enfin... pas à chaque fois !
Ven 28 Avr - 21:18
Aëllya Müller
ft. Angela Ziegler d'Overwatch

Âge : 37 ans
Sexe : Féminin
Orientation sexuelle : Bisexuelle
Origine : Oniria
Groupe : Police
Rang : Médecin militaire
Spécialité si besoin
: Chirurgie
Caractère

Aëllya s'est toujours dissociée des autres par sa gentillesse et son attention de tous les instants. Elle aime rendre service et apporter son soutien à ceux qui en ont besoin, que ce soit en tant que médecin ou dans la vie de tous les jours. Très investie dans son métier, elle considère tous ses patients avec beaucoup d'égard et veille à leur bien-être. De toutes les personnes qui ont croisé son chemin, d'aucune ne pourront affirmer qu'elle est pleine de mauvaises intentions. Aussi blanche qu'une colombe, son sourire est terriblement contagieux.

Cependant, il ne faut pas confondre gentillesse et faiblesse. Car Aëllya sait très bien se défendre toute seule, comme elle parvient très bien à assoir ses idéaux sans hausser le ton. C'est une fervente partisane de la paix et du progrès. Et même si sa mine enjouée laisse imaginer une femme naïve et influençable, ce n'est pas la réalité. Elle est intelligente et dotée d'un esprit critique.

D'un naturel calme, elle aime aussi prendre du temps pour elle, se prélasser sous le soleil en lisant un bon roman. Aëllya, c'est un peu l'amie dont tout le monde rêve. Celle qui rapporte toujours un plat qu'elle a cuisiné la veille à toute son équipe. Elle sait écouter quand il le faut, et conseiller quand on le lui demande. C'est une femme discrète qui se soucie des autres comme s'ils étaient tous les membres de sa très grande famille.

S'il y a bien une chose qui la met dans tout ses états, c'est la violence. Que ce soit dans la vie de tous les jours ou à la guerre, elle n'en tolère aucune forme. Au risque de se mettre elle-même en danger de mort, elle ne restera jamais une spectatrice passive. Son attitude auto-destructrice lui a déjà valu plusieurs blessures dont quelques unes particulièrement graves.

Aëllya, c'est une personne qui ne vit que dans le cœur de ceux qui l'entourent. Mais la gentillesse n'est-elle pas une forme d'égoïsme ? De désir ardent de reconnaissance et une recherche permanente d'attention ? Même si elle ne le reconnait pas, elle a besoin de cette auto-satisfaction que peut lui apporter un simple "merci". C'est un être fragile, qui s'écroulerai si les personnes auxquelles elle s'est attachée venaient à disparaître.

Physique

Aëllya est une femme aux cheveux blonds platine constamment attachés, que ce soit en un chignon ou une queue de cheval, pour ne pas être dérangée pendant son travail. Ses yeux en amande abritent deux perles d'un bleu azur. Sa peau à la blancheur du lait, sa bouche la finesse d'une fleur... une femme qui fait attention à son apparence physique sans pour autant faire preuve d'extravagance.
Aëllya n'est pas bien grande. Elle mesure tout juste 1M60. Il est rare de ne pas la voir avec sa blouse blanche sur les épaules, les manches remontées jusqu'aux coudes. Elle ne porte pas de boucles d'oreilles ou piercing, non plus de tatouages, bien trop consciente des divers problèmes physiologiques que ce genre d'ajouts puisse engendrer.

Parler d'Aëllya sans évoquer la "valkyrie" c'est oublier la moitié de son être. Cette armure perfectionnée, fruit de la technologie des mechas visant à contrôler des pokémons déchaînés n'a pas de fonction offensive. Cet Exosquelette est une version miniature portative et plus pratique que les énormes machines conventionnelles. Elle apporte par ailleurs une protection moindre et n'est pas faite pour le combat de front quelque soit le type de menace. Elle permet de soutenir ses alliés lors de crises importantes en prodiguant des soins d'urgence, qui ont sauvé plus d'une vie.
Visuel en question ♫


Histoire


Tout à un début et une fin. Le monde est ainsi fait. Il a un jour commencé, et se terminera forcément. Nul n'est capable de dire quand avec exactitude, mais tous s'accordent à dire que la vie ne peut pas durer éternellement. Car l'existence, en elle même, est une forme de souffrance et, tout comme le bonheur, elle est éphémère. L'être vivant souffre toute sa vie. A la naissance, son corps à peine formé est maltraité. Pendant l'enfance, il doit faire d'immenses efforts pour apprendre, répéter, enregistrer ce que son entourage considère comme "bien" et "mal". A l’adolescence, l'être vivant se rend compte que le monde n'est ni tout noir, ni tout blanc. Il se rend compte qu'il est nuancé, plein de variantes. Son ouverture au monde, est aussi une source de souffrance. Adulte, il cherche sa place auprès des autres, cherche la sienne au fond de son cœur. Jusqu'à sa mort, l'Homme n'aura cessé d'être tourmenté, par sa propre capacité de penser. Qui l'aura fait douter de lui-même, de manière innombrable.

<< Ainsi, l'homme est un poison pour lui-même. >>

Mercredi 24 juillet 2033.
Elle n'avait pas pris la peine d'ouvrir les yeux. A peine l'air s'était-il engouffré dans ses poumons, enflammant ses jeunes bronches au passage, qu'elle avait hurlé. Elle venait de naître et expérimentait tout juste la vie. Déjà, elle avait froid. Elle avait faim. Elle avait peur. Elle était seule, dans un environnement inconnu, inquiétant. Autour d'elle, des bruits qu'elle ne connaissait pas. Parmi eux, des voix, pas tout à fait inconnues, au ton enjôleur, au volume si bas, qu'elle devait se taire pour entendre. Bien vite, ses pleurs cessèrent. Tendrement enveloppée dans une couverture chaude, dans les bras de sa mère, elle s'apaisa. Son oreille collée contre la poitrine de la femme, elle écouta, la bouche ouverte. Le son régulier et familier, lui rappelant l'endroit duquel on l'avait extraite.
Bien au chaud, bercé par les vibrations d'une chanson interprétée en duo, le bébé s'endormit, fatigué de sa première expérience.
Aëllya venait de naître.

Septembre 2034.
Allongé sur la muraille de pierre, le Flamiaou dressa les oreilles. L'animal profitait des derniers rayons du soleil, bien conscient que, bientôt, il serait cloîtré entre quatre murs par ses maîtres à cause de l'hiver. Dans la maison voisine, habituellement calme, il pouvait assister à un drôle de ballet qui durait depuis un peu plus d'un an. Les humains étaient dirigés à la baguette par une créature rose et rebondie, dotée d'une petite touffe de poils jaunes sur le sommet du crâne. Des yeux aussi limpides que le bleu du ciel et une bouille que tous qualifiaient "d'adorable"
Le chat l'observait parfois, à travers la vitre de la chambre des deux bipèdes, depuis leur jardin. Il regardait cette nouvelle venue, dormir pendant des heures, sans bouger. Qui était-elle ? Que faisait-elle ici ? Ses maîtres passaient plus de temps à rire des babillages de la gamine qu'à s'occuper du félin. Et il détestait ne plus être le centre de l'attention. Sa queue battit rageusement l'air. Il se leva, s'étira et descendit de la muraille, les moustaches remuantes de contrariété.
Aëllya, tel était le nom de la petite perturbatrice.

Mai 2036
A peine savait-elle marcher que la petite fille se lançait à la poursuite du chat des voisins dans tout le jardin, au plus grand désespoir de ce dernier. Il faisait tout pour l'éviter. Elle tentait sans cesse de le capturer. Un spectacle qui faisait beaucoup rire les voisins et inquiétait les parents.
Dans la vie  d'Aëllya, tout se passait pour le mieux. Elle grandissait bien, n'avait pas de problèmes de santé particuliers, acceptait sans trop de difficulté d'aller à la crèche et jouait assez facilement avec les autres enfants. Elle n'était pas difficile à contenter et ne pleurait jamais. Si l'on devait la qualifier d'un seul mot, le terme "solaire" conviendrait tout à fait. Elle était pleine d'énergie et la transmettait à ceux qui daignaient l'approcher. Une enfant radieuse, pouponnée par ses parents, dont un simple regard donne envie de sourire. Ce qui la rendait encore plus irrésistible, c'étaient les tenues que lui enfilaient sa mère. Rubans, froufrous, paillettes, fleurs... et dans la mesure du possible du rose, partout.
Mais la vie de la demoiselle était trop parfaite. Trop insouciante et fluide pour pour perdurer de la sorte. C'est en se frottant les mains que le destin fit basculer ce paisible quotidien du tout au tout.

Vendredi 24 Juillet 2040

Aujourd'hui, c'est important. Pour moi, c'est important. Je viens tout juste d'avoir 7 ans et, croyez-le ou non, j'ai l'impression d'avoir attendu ce jour toute ma vie ! Mon sac sur le dos, je rentre, le sourire aux lèvres. A tous mes anniversaires (d'aussi loin que je m'en souvienne en tout cas) j'ai eu droit à un énorme gâteau et bien sûr, un cadeau. Mais je n'est pas tellement pour que l'on m'offre que j'aime cette journée. Non. C'est parce que c'est la mienne. Mes parents sont des personnes occupées. Ils travaillent beaucoup, mais s'arrangent toujours pour m'accorder un peu de leur temps. Et comme à leur habitude, ils ont posé un congé pour ce week-end. C'est ÇA qui rend cette journée exceptionnelle. Savoir que les quarante huit heures qui vont suivre me seront dédiées, cette simple pensée empli ma poitrine d'une douce chaleur.
A l'école, certains de mes amis se plaignent. Leurs parents sont trop strictes, ils n'ont pas les mêmes droits que leurs grands frères ou leurs grandes sœurs. Je me suis toujours sentie un peu à part. Parce que je n'ai jamais vraiment compris leurs soucis. J'ai toujours eu la sensation d'être tout à fait comblée, du moins, est-ce l'image que j'aime donner. Car après tout, l'absence de mes parents pèse sur ma cage thoracique.

Mais qu'importe, ce n'est pas une journée pour penser à des choses déprimantes ! Un peu plus excitée par la perspective d'être accueillie à bras ouverts, j'accélère la cadence, et trottine, tenant fermement mon sac sur mes épaules.

Je passe par le chemin bordé de fleurs (en été seulement), dans la ruelle du vieux monsieur et de son chien qui aboie pour un rien. Il ne faut pas longtemps pour que ma maison soit en vue. Mon cœur s'emballe, je ne peux pas résister à l'envie de courir, comme portée par le vent. Essoufflée, j'atteins le pas de la porte et l'ouvre avec fracas.
<< C'est moi ! Je suis rentrée ! >> je lance à tu-tête.
Pas de réponse.
Je suis un peu déçue, mais pas inquiète. Peut-être mes parents doivent-ils terminer quelque chose au laboratoire avant de partir en week-end ? Ce n'est pas la première fois que ça arrive et j'ai des consignes précises pour ce genre d'occasions. Je referme la porte, et monte à l'étage. Une fois dans ma chambre, je vide minutieusement mon sac sur mon bureau et le remplis avec le stricte nécessaire. Je vais chercher mon pyjama, soigneusement plié par mon père, sous mon oreiller. Ma brosse à dent et mon gobelet, dans la salle de bain. Je récupère ma peluche pikachu, laissée le matin même dans la chambre de mes parents. Je referme le sac et redescend. Je sors de la maison, soulève un pot de fleur solitaire sous lequel repose une clef, avec laquelle je verrouille la porte, avant de la remettre à sa place.

Je traverse les quelques mètres qui sépare ma maison de celle de Nicole et Christian, nos voisins et amis. Je passe parfois la nuit chez eux, quand mes parents ne sont pas rentrés.
Sur la pointe des pieds, je tends le bras avec difficulté pour atteindre la sonnette. Quelques secondes passées à me débattre, puis, enfin, j'y parviens. Je n'attends pas longtemps sur le perron, une femme souriante aux traits usés me prend dans ses bras.
<< Aëllya ! Comme je suis contente de te voir ! Joyeux Anniversaire ma petite ! >>
Je lui rends son étreinte avant de la suivre. Combien de temps vais-je rester cette fois-ci ? J'apprécie sincèrement la compagnie de Nicole et Christian. Ils s'occupent toujours très bien de moi. Nicole m'apprend à cuisiner, Christian lui, préfère le jardinage. Ce sont deux vieilles personnes respectables (papa et maman l'on dit !) mais... mais ils ne comblent pas le vide que je ressens. Ils sont attentifs à mes besoins, gentils et patients. J'ai parfois l'impression qu'ils cherchent à les remplacer.
Papa, Maman, rentrez-vite d'accord ? Je vous attends.

Samedi 25 Juillet 2040.
J'attends. J'attends depuis bientôt deux jours entiers. Je n'ai aucune nouvelle. Nicole m'a prêté son téléphone portable, pour que je puisse les appeller. Je connais leur numéro par coeur. En cas d'urgence, Maman à dit que c'était important. Mais ils ne répondent pas, ni l'un, ni l'autre. Ils n'ont pas laissé de message, pas de lettre dans la maison qui puisse expliquer une si longue absence. J'ai fouillé partout dans la maison, à la recherche d'un indice, qui pourrait m'expliquer ce qui leur est arrivé, mais je n'ai rien trouvé. Nicole et Christian sourient, ils me disent que tout va bien, que je n'ai pas à m'inquiéter. C'est facile à dire, pour eux. Leur famille est là. Ils sont chez eux.

Pour m'occuper, Christian a allumé la télévision. En dînant, nous avons regardé les informations. Le journaliste à dit qu'un laboratoire d'Arc-en-Polis avait explosé suite à un attentat terroriste. Nicole et Christian ont échangé un regard, avant d'éteindre et de changer de sujet. L'image des bâtiments en flammes perdure dans mon esprit.
Mes parents travaillent dans un laboratoire en tant qu'ingénieurs. Je crois qu'ils fabriquent de nouvelles machines pour améliorer le quotidien des habitants. De plus, je suis sûre d'avoir déjà entendu parler de ce laboratoire.
J'ai pris ma décision. Demain, je me rendrai au poste de police.
J'espère qu'il ne vous est rien arrivé...

Dimanche 26 Juillet 2040.

Je me suis levée plus tôt que d'habitude, l'angoisse étreignant mon estomac. Je sais que je ne fais rien de mal. Aller au commissariat et revenir, ce n'est pas une bêtise, mes parents ne me punirait pas pour ça. Mais j'ai peur. Peur de ne pas en savoir davantage ou d'en apprendre trop. Pour que Nicole et Christian ne paniquent pas en ne me voyant pas dans le jardin, où je suis censée être, je laisse un petit mot sur la table blanche en fer forgé.
"Je sui parti o comisaria."
Du haut de mes sept ans, je ne crois pas avoir fait trop de fautes, enfin, je l'espère.
Dans mon sac (que j'emporte toujours) il y a mon pikachu en peluche, pour m'aider à lutter contre la peur, quelques biscuits pour calmer une éventuelle fringale, une photo de mes parents, récupérée à l'instant. Je ne prend pas la peine de me coiffer, tout juste celle de m'habiller. Je n'ai que sept ans après tout.

Sur le chemin, je ne réfléchis plus. Je me contente de courir. Courir. Courir. C'est tout ce que je peux faire pour réduire la distance qui me sépare du commissariat. Eux ils sauront. Mes parents m'ont dit qu'en cas de problème que d'autres grandes personnes ne peuvent pas régler, c'est vers la police qu'il faut se tourner. Si Nicole et Christian ne savent pas, alors la police saura.
Je me précipite dans le bureau. Il y a des gens dans la salle d'attente. En temps normal, j'aurai respecté les règles. Je me serai sagement assise et j'aurai attendu. Mais je ne peux plus, je n'en suis plus capable.
<< Monsieur ! S'il vous plait Monsieur ! >>
Un homme cesse de pianoter sur son clavier pour m'adresser un regard interrogateur.
<< C'est bien ici que l'on retrouve les choses qu'on a perdues ? >>
Il hausse un sourcil.
<< Qu'est-ce qu'il y a ? >>
<< Mes parents... Je ne sais pas où ils sont, ils ne sont pas rentrés et... et j'ai une photo. >> dis-je en ne pouvant plus endiguer un flot de larmes.
Il m'a tout de suite prise au sérieux. Il s'est levé, ses sourcils froncés se sont assouplis et il m'a tendu la main.
<< Viens avec moi, on va en discuter, d'accord ? Jacob, tu me remplaces ? >>
Je l'ai suivi en sanglottant. Il m'a conduite dans une petite salle, m'a installée dans un canapé et s'est agenouillé devant moi. Il a pris le temps de m'écouter, il ne s'est pas impatienté, malgré mes hésitations, mon articulation maladroite et mes pleurs incessants. Malgré mes contre-indications, il a informé Nicole et Christian. Il leur a dit de ne pas s'inquiéter, qu'il me ramènerait en voiture. Puis il m'a laissée là, en compagnie de ses collègues. J'ai joué aux cartes, à cache-cache, mangé des bonbons, bu du soda... j'en avais presque oublié mes soucis. Jusqu'à ce qu'il revienne. Son sourire s'était effacé, remplacé par une mine compatissante.
<< Tu as de la famille Aëllya ? Frère ? Sœur ? Grands-parents ? >>
<< Non, je n'ai que mes parents. >>
Sa bouche s'est ouverte, puis refermée, une, deux, trois fois. J'ai penché la tête, impatiente et intimidée de cette chose qui restait coincée au fond de sa gorge. Alors, en me tenant les deux mains, en me regardant droit dans les yeux, il m'a tenu ce long discours :
<< Parfois, il arrive que deux personnes ayant des idées différentes entrent en désaccord. Le plus souvent, un simple dialogue suffit à calmer les deux partis. Mais il arrive qu'au contraire, leur relations s'enveniment. Tes parents se sont retrouvés mêlés à un conflit dont ils n'avaient pas connaissance. Le laboratoire dans lequel ils travaillaient à... il a explosé suite à une attaque terroriste. Ils sont mort, Aëllya.>>
Jamais mon nom ne m'a paru aussi laid. Jamais je n'ai tant voulu fuir, tant voulu disparaître. Mort. Le mot se cognait contre les paroies de mon crâne, chassant toute autre idée au passage. Morts ? Qu'est-ce que c'est ?
<< Mort ? >> j'ai répété, sans être capable de donner de signification à ce terme assourdissant.
<< Ils ne reviendront plus. >> chuchota le policier.
<< Pourquoi ? J'ai fait quelque chose de mal ? >> paniquais-je.
<< Non non ! Ce n'est pas de ta faute ! La guerre prend des vies innocentes sans distinction. Tu n'es pas responsable. >>
Je veux pleurer. Mon coeur saigne. Mais mes yeux sont secs, mon visage fermé, mon esprit, dans un monde que nul autre que moi ne peut voir.

<< Mort. Qu'est-ce qu'un mot pareil peut bien signifier, quand on vient d'avoir sept ans ?>>



Je sais bien, avec du recul, que je n'aurais pas été en mesure de les protéger. Ce n'était pas mon rôle d'enfant. Je n'en avais pas les capacités. Pourtant, maintes et maintes fois, je me suis demandé "Est-ce que j'aurai pu changer le cours des choses ?". Peut-être, il est trop tard pour le savoir. Trop tard pour regarder par dessus mon épaule.
C'est pour cela que je me suis engagée dans un premier temps en tant que médecin militaire, avant de rejoindre la police. Je voulais aider. Je voulais sauver. Quelque part, je voulais combler ce vide à tout jamais laissé. Ce creux, cette douleur, si vive, qui me serre la gorge, emprisonne ma poitrine. Impossible de l'oublier.
Le temps n'amoindrit pas ce que l'on ressent, il nous apprend juste à vivre avec nos sentiments. C'est ce que j'ai appris à mes dépends.
La guerre prend des vies innocentes sans distinction. Tant que je vivrai, je me battrai pour sauver ces vies.

<< Les héros ne meurent jamais. >>


Septembre 2050.

La paix. Ce n'est pas quelque chose que l'on peut posséder, comme un trophée. Pas non plus quelque chose que l'on peut garantir, comme un objet tout juste acheté. C'est une idée fragile. Une philosophie de vie, une manière de penser et d'agir qui n'est pas à la portée de tout le monde. J'ai dix-sept ans. Mes amis pensent que je suis trop jeune pour me soucier de ce genre de choses. Que nous ne sommes pas capables d'agir. Que nous ne sommes que des pions en formation, des futurs citoyens, des chrysalides incapables de se défendre. En ça, nous étions différent. Je les apprécies sincèrement, il me sortent de la torpeur qui me ronge dès que je me retrouve seule. Ils égayent mes journées, me font rire et pleurer. Mais ils sont aussi un obstacle. Une façon de voir les choses qui me hérisse les cheveux sur la tête.

Malgré ce feu qui brûle en moi, cette envie de secourir, les choses se sont radicalement calmées sur Oniria. Les journalistes ne manquent jamais d'exposer les statistiques concernant la criminalité en baisse constante. Les poteaux relayant les ondes du Power Break font effet, comme tout le monde l'espérait. D'une part, je suis soulagée. D'une autre, je sais que tout ceci ne durera pas éternellement. Ceux qui veulent faire du mal, ne sont pas arrêtés par de simples ondes radios.

Alors, du haut de mes dix-sept ans, j'associe études et bénévolat. Car même si la guerre ne fait plus de ravages, la misère ne prend pas le temps de se reposer.

Mai 2058.

La veille, j'ai été diplômée de médecine, spécialisation chirurgie. Major de ma promotion, je n'étais pas peu fière. Mais la joie à vite laissé place à la mélancolie. J'aurai aimé que mes parents soient là, au premier rang. J'aurai souhaité lire la fierté dans leurs yeux. J'aurai voulu les étreindre, peu importe le nombre de gens présents ou ce qu'ils pouvaient bien en penser. Mais deux des sièges du premier rangs étaient vide. De manière symbolique. Mes amis m'ont félicitée, il m'ont rassurée, puis consolée. J'ai pleuré en recevant mon diplôme. Pour moi, ce n'était pas juste un bout de papier. Il symbolisait mon entrée dans une action plus grande. Un but, un rêve, un espoir. Une façon de protéger ceux qui ne sont pas capable de leur faire avec leurs seules compétences en leur apportant des soins.
J'ai bien réfléchis à tout ça. Je ne veux pas restée cloîtrée dans un bureau, à trier des papiers. A regarder les rendez-vous s'enchaîner. Je ne veux pas de ce quotidien. Au fond de moi je le sens, ma place... elle n'est pas là-bas. Je respecte profondément les praticiens qui opèrent en ville auprès des civils. Mais j'ai fais mon choix. Je veux être sur le terrain. Je veux donner l'exemple, je veux mettre mes connaissances au service des protecteurs d'Oniria.
Demain, je me renseignerai sur les formalités d'entrée à l'école militaire.

Janvier 2059.
<< Ce n'est rien de grave, juste une égratignure >> j'explique avec douceur.
Mon camarade m'adresse un sourire reconnaissant.
Sa blessure à beau être minime, elle n'est pas sans risque. Il faut que j'interrompe le saignement et que j'empêche toute interaction bactériologique. Si loin de la base, la moindre infection peut vite dégénérer et devenir fatale. Mon objectif premier sera donc d'empêcher toute complication, au risque de laisser une cicatrice visible sur sa peau.
Je commence à déchirer un pan du drap que j'ai emporté avec moi, mais je suis vite interrompue par la main du soldat.
<< Tu n'as pas à faire ça pour moi. Ce n'est pas ton rôle. >> me dit-il tout à fait calmement.
Mes sourcils se froncent et mon ton se durcit.
<< C'est peut-être vrai, mais ceux qui attendent pour agir en se cachant derrière de fausses excuses sont faibles. Ils ne valent pas grand chose à mes yeux.>>

23 Juillet 2063.
Je suis finalement parvenue à rejoindre l'armée en tant que médecin militaire. La formation n'a pas été de tout repos, mais je suis fière d'y avoir participé et de m'y être tenue jusqu'au bout. Désormais, je cours chaque matin pendant un peu plus d'une heure pour garder une bonne forme physique. Depuis la réapparition des Team il y a 3 ans, on ne sait jamais à quoi s'attendre. Les attaques peuvent avoir lieu n'importe où et n'importe quand.
Demain, c'est mon anniversaire. J'irai fleurir la tombe de mes parents. M'observent-ils depuis les cieux ?
Ais-je choisi le bon chemin ?

24 Juillet 2063.
A ma grande surprise, j'ai été convoquée par mes supérieurs dans le complexe dédié aux recherches en ingénierie, et plus particulièrement, en ce qui concerne le développement des Méchas. Je m'y suis rendue sans discuter, curieuse et inquiète, ne sachant pas trop s'il s'agirait ou non d'une bonne nouvelle. Avec toute une flopée de nouvelles recrues, je suis entrée dans un hangar réaménagé pour l'occasion. Il y avait un nombre incalculables de machines dont je n'imaginais même pas l'utilité. Mais surtout, exposé dans une vitrine, un prototype qui avait demandé des années de recherches. Nous étions là pour le tester et le mettre à l'épreuve. Mais aussi, pour déterminer qui serait ou non, apte à le manipuler.
A contrario de certains Exosquelettes mis au points dans la même période, l'armure qui nous était présentée n'avait aucun but offensif. Elle ne servait pas à combattre, mais à soutenir. Une tenue qui visait tout d'abord à protéger son porteur. Elle n'était pas aussi fiable qu'un énorme mecha et pour cause, elle était beaucoup plus légère, mais offrait davantage qu'un simple attirail. Durant un long discours, ils nous exposèrent les différentes fonctionnalités de la "Valkyrie" telle qu'elle était et avec les améliorations qu'ils apporteraient au projet. L'une des particularités de cette tenue réservée aux médecins militaires, était de pouvoir se déplacer rapidement à travers le champs de bataille, d'alliés en alliés. Car ces derniers seraient prochainement équipés d'une puce émettrice, capable d'estimer la gravité de leur blessure, communiquant les informations à l'armure, que le pilote serait ensuite en mesure de traiter. De plus, ces ondes permettaient à l'armure de déployer des sortes d'ailes, qui accéléraient temporairement la vitesse de déplacement...
Dire que j'ai été capable de la piloter immédiatement est un mensonge. Il me manquait trop de connaissances techniques, ainsi que la formation de "pilotage" adéquate.
Pourtant, j'avais l'impression qu'elle était faite pour moi.
Je fus le premier agent à entrer en fonction avec la "Valkyrie".
<< Nom de code : Val.01. Ange, au rapport ! >>

Un peu de vous

PUF : Ama, Mimi, Hua, Oz... Je ne me souviens pas de tout !
Âge : 19 ans T_T
Code validation : Baudrive est génial
Et vous ? : Je me suis faite entrainée de force par une personne se prénommant "Mama".
En ce qui concerne le forum je ne suis pas trop fan du design (mais ce n'est pas une remarque objective) autrement j'aime beaucoup la liberté laissée aux membres. Que ce soit en laissant les chromatiques libres, les pokémons jouables... c'est sympa ça donne plein de possibilités ! En plus, désolé mais pokémon & mecha ça va tellement bien ensemble que je ne comprends pas pourquoi personne n'a eu l'idée avant !

Invité
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Re: Je ne fais pas de miracles. Enfin... pas à chaque fois !
Ven 28 Avr - 22:21
Équipe Pokémon
Équipe standard
Mimiqui
Melly
DESCRIPTION

• Physique : Melly est légèrement différente de ses pairs. En effet, elle ne s'habille pas de haillons timidement taillés et coloriés pour ressembler à une pâle figure de pikachu. Non. La demoiselle porte du sur-mesure cousu par sa maîtresse. Aëllya n'est pas nécessairement une bonne couturière mais... elle se donne du mal. C'est ce qui compte non ?

  • Type(s) : Spectre - Fée

  • Talent : Fantômasque

  • Sexe :  Féminin

  • Taille&Poids : 20 cm & 700g

  • Nature : Joviale

  • Niveau : 35

  • Moveset : Charge - Câlinerie - Charme - Copie // Prélèvement Destin

  • Signes distinctifs : Son aspect bariolé

  • Mental  : Melly n'est pas un pokémon taillé pour le combat, mais elle est de charmante compagnie. Aëllya étant opposée à toute forme de violence, la Mimiqui ressemble davantage à un chat de salon qu'à une quelconque créature dotée de pouvoirs destructeurs.

Invité
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Re: Je ne fais pas de miracles. Enfin... pas à chaque fois !
Sam 29 Avr - 18:36
MMMMMMMMMMAMIE QU'EST CE QUE TU FAIS LÀ ! 8D
Bienvenue ici ❤️
Invité
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Invité
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Re: Je ne fais pas de miracles. Enfin... pas à chaque fois !
Dim 30 Avr - 8:50
J'ai été kidnappée par une bande de patates en colère qui m'ont menacée de me faire manger de la purée mousseline si je ne choisissais pas un régime végétarien.
Demande à Mama elle m'a forcée donné envie de venir mettre mon grain de sel par ici :D.
MICI VILAINE.
Invité
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Invité
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Re: Je ne fais pas de miracles. Enfin... pas à chaque fois !
Dim 30 Avr - 12:43
MIMIIIIIII
AAAAAAAAAAAAAAH

C'est génial de te voir parmi nous ! J'ai hâte de voir la fin de ta fiche ! ;D
Invité
Anonymous
Invité
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Re: Je ne fais pas de miracles. Enfin... pas à chaque fois !
Lun 1 Mai - 14:41
Coucou et bienvenue à toi ♥

Je ne pense pas avoir le plaisir de te connaitre, alors j'ai hâte que ce soit le cas ~

J'adore déjà le début de la fiche, j'attends la suite avec impatience ! Si tu as des questions, n'hésite surtout pas.

Par ailleurs comme j'ai pu l'expliquer sur la fiche de Mamã, les méchas sont de gros robots à l'aspect de Pokemon. Aussi, pour ce qui te concerne, il faudrait parler d'Exosquelette !

Bon courage ~

EDIT : Le rang de médecin militaire est tout à fait possible !
Invité
Anonymous
Invité
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Re: Je ne fais pas de miracles. Enfin... pas à chaque fois !
Lun 1 Mai - 17:18
SUNNY KEUR SUR TOI KEUR SUR YURI ON ICE

Owen l'impatience est tout à fait partagée !
Concernant l’Exosquelette c'est noté, désolé j'avais mal interprété votre définition des méchas (en même temps j'aurai peut-être dû attendre le topic descriptif correspondant ♥).
Merchi d'être passé m'apporter ces quelques éclaircissements en tout cas ;).
Sōkkā Rivamar
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Re: Je ne fais pas de miracles. Enfin... pas à chaque fois !
Lun 1 Mai - 19:14
BIENVENUE : YURI ON ICE PARTOUT ♥
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Re: Je ne fais pas de miracles. Enfin... pas à chaque fois !
Lun 1 Mai - 20:44
Oui pas de soucis ! C'est de notre faute, nous n'avons pas encore fait le topic correspondant en effet. Mais surtout, nous venons de décider l'utilisation des Exosquelettes, grâce à Mama et toi-même ! Donc tu ne pouvais vraiment pas savoir :3

Bon courage ♥
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Re: Je ne fais pas de miracles. Enfin... pas à chaque fois !
Lun 1 Mai - 21:45
Yuri on Ice ne vaut pas un bon Boomerang

Non non Owen ce n'est pas votre faute, il n'y a pas de mal.
Si nous avons apporté notre contribution (même indirectement) alors tant mieux ;D.

Autrement je voulais signaler que j'avais terminé ma présentation !
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Re: Je ne fais pas de miracles. Enfin... pas à chaque fois !
Mar 2 Mai - 14:33
Coucou !

Alors j'ai adoré l'histoire, c'est franchement super bien raconté et trop triste en même temps ='(

J'aurais cependant quelques questions à te poser ! D'abord, je vois que Aëllya est née à Hoenn, mais tu n'en parles pas. Si j'ai bien suivi, au final, elle est toujours sur Oniria non ?

Ensuite, est-ce que l'acte terroriste visant l'Institut dont tu parles dans ton histoire est en rapport avec l'Event en cours ? Si c'est le cas, on va avoir un problème de chronologie puisque ces attaques ne viennent que de commencer ! C'est donc impossible que cela soit en lien. Si ce n'est pas le cas, alors c'est très bien, il peut y avoir eu des attaques dans le passé en effet !

Enfin, si tu souhaites avoir un Exosquelette, il va falloir expliquer dans ton histoire comment tu l'as obtenu, pourquoi etc. On demande un minimum d'information pour autoriser l'utilisation d'un pareil engin :3

Et également, même si ce n'est absolument pas une obligation, j'aimerais bien savoir comme Aëllya a rencontré son Pokemon ! Si tu veux bien, bien entendu, puisque ce n'est pas une obligation.

En parlant du Pokemon, ce dernier n'a pas de nature, il faudrait rajouter cela :3

Voilà, sinon je crois avoir fait le tour. J'attends tes réponses ! ~
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Re: Je ne fais pas de miracles. Enfin... pas à chaque fois !
Mar 2 Mai - 15:03
D'abord, merci pour ce passage rapide et pour le compliment :D.

Ensuite, au début je voulais la faire venir de Hoenn mais je suis partie sur tout à fait autre chose et j'ai oublié de corriger je fais ça tout de suite.

Concernant l'acte terroriste non il n'a aucun rapport avec l'évent en cours ! Je me suis arrangée pour que la chronologie du personnage corresponde un peu à celle du forum (soit l'arrivée des Team en 2040) pour que l'évènement demeure plausible, autrement je n'ai pas pensé à un quelconque groupe en particulier. Ses parents se sont juste retrouvés au mauvais endroit au mauvais moment (a).

C'est entendu je rajoute ça et je vous tiens informés !
Concernant la rencontre avec son pokémon, je comptais la faire dans le "Journal Intime" parce que j'avoue être peu motivée à l'heure actuelle );.

Je n'ai pas mis de nature parce qu'à vraie dire... Je ne sais pas vraiment à quoi ça correspond. Je suis assez peu familière avec les nouvelles générations (1G forever). Mais je me suis renseignée et je l'ai rajoutée (en espérant que Poképédia n'ai pas menti !)

Edit : Voici les ajouts dans l'histoire concernant l'Exosquelette

Spoiler:

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Re: Je ne fais pas de miracles. Enfin... pas à chaque fois !
Mar 2 Mai - 17:21
Hello et bienvenue !

Très belle fiche, personnage intéressant et le Mimiqui est trop chou. xD
Presque prête à être validée cela dit. En effet, tu parles de l'Institut avec un labo, sauf qu'il n'y en a pas normalement. Tout comme il n'y a pas de scientifiques qui travaillent là-bas... De plus, un attentat là-bas n'aurait pas été sans conséquence, je pense ! D'où ma question: est-ce que cela a une importance pour ta fiche ?

Sinon, il faudrait modifier pour parler d'un simple laboratoire dans Arc-En-Polis par exemple !

Si oui, me fournir une explication alors. ^-^

Voilà, c'est tout !
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Re: Je ne fais pas de miracles. Enfin... pas à chaque fois !
Mar 2 Mai - 17:30
Merci :D

Au début je voulais un Pikachu mais ce Mimiqui m'a tuée.
Euh non, désolé il s'agissait juste d'une incompréhension de ma part. J'ai changé puisque labo quelconque ou pas, ça ne changeait rien dans l'histoire.
Ils peuvent même travailler dans une déchetterie du moment que ça explose ça me va.
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Re: Je ne fais pas de miracles. Enfin... pas à chaque fois !
Mar 2 Mai - 19:09
Parfait ! Nous te validons donc officiellement :3

Je te laisse faire ta demande de rp, par contre pas la peine de faire la carte dresseur tout de suite, nous allons bientôt changer de modèle !
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Je ne fais pas de miracles. Enfin... pas à chaque fois !
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