Intelligent, souriant, gentil, sanguin, patient

Azraël porte un non négatif mais est un être plutôt positif. Il n'a pas pour but de faire souffrir les autres, que ce soit physiquement ou mentalement. Il a plutôt dans l'idée de les aider. Souriant et gentil, il et constamment de prime abord considéré comme étant une femelle. Son physique lui porte "préjudice" de ce côté là car bien souvent les autres pokémons ne prennent même pas la peine d'utiliser leur flair pour se renseigner. C'est là que le côté sanguin d'Azraël ressort.
Il a subit ce malentendu tout au long de sa vie et il ne le tolère plus, alors quand la remarque vient de n'importe qui - excepté un enfant -, le gardevoir a comme réflexe de lancer ce qu'il a sous la main au malotru pour lui apprendre les bonnes manières. Certains se contente de continuer à le railler ensuite. D'autre sont horrifiés et se répandent en excuses. Et d'autres semblent totalement buger. Enfin, peu importe, ils font alors fasse à un Azraël colérique ou profondément agacé. Tout dépend de comment c'est passé sa journée avant.

D'apparence délicate et élégante, Azraël se mouve avec grâce et semble toujours calme. Souriant et apaisant, il constamment confondu avec une femelle alors qu'il est plus que certainement un mâle. Alors dans ces moments là son sourire se fige et son aura change pour devenir quelque chose de plus... tu-vas-absolument-et-immédiatement-regretter-ce-que-tu-viens-de-dire.
Autrement, il ressemble en tout et pour tout à n'importe quel gardevoir. De la blancheur immaculée de sa "robe" à... bah à rien d'autre en fait. Car Azraël lui est shiny. Donc la corne sur sa poitrine est orange soutenu plutôt que rouge et l'intérieur de sa "robe" et ses "cheveux" sont bleus pâle. Ses yeux eux, sont oranges plutôt que rouges.
Capable de se défendre au corps à corps malgré son statut de psychique, il ne faut pas sous estimer ses coups de poings et de pieds renforcés aux capacités psy. Ce serait regrettable.

La ville vivait d'animations constantes et Azraël errait dans les rues avec la discrétion que confère l'habitude. Ses pas étaient silencieux et les pans de son corps constituant sa "robe" traînaient sur les pavés sans pour autant que ça ne semble le déranger plus que ça. Le soleil éclairait les rues animaient et étendait les ombres pour rafraîchir qui le désirait.
Azraël arpentait les ruelles de la ville en hmmant un air lent. L'éclat des rires des enfants humains lui parvenaient depuis la rue principale alors qu'il faisait virevoltait devant lui un peu d'eau pour s'occuper en marchant. Ses pouvoirs psychiques lui accordaient la possibilité de jouer avec les objets et doucement il créait des histoires pour apaiser ceux qu'il désirait aider.